
Lors d'une séance consultative tenue le 12 novembre, le Bureau du Port de Shenzhen a informé les législateurs municipaux et les conseillers politiques des plans visant à accélérer la construction d’un « port intelligent » et à renforcer le flux transfrontalier avec Hong Kong. La réunion a passé en revue les propositions législatives pour 2025 et recueilli des avis sur des priorités allant de la reconstruction des terminaux aux systèmes d’inspection pilotés par l’IA.
Les responsables ont confirmé que Shenzhen — qui gère déjà environ 40 % des passages frontaliers de passagers en Chine — va étendre les bornes automatiques et introduire le partage de données en temps réel avec les compagnies aériennes pour un pré-contrôle des voyageurs. Ces améliorations coïncideront avec le lancement national des cartes d’arrivée en ligne par le NIA le 20 novembre, ainsi qu’avec l’extension des exemptions de transit direct 24h/24 dans dix aéroports du continent.
Les législateurs ont demandé au Bureau du Port de réduire les temps d’attente aux heures de pointe aux points de contrôle de Futian et Shenzhen Bay, de rétablir le contrôle des passagers 24h/24 à Luohu, et d’étudier des liaisons supplémentaires en ferry vers le Skypier de l’aéroport de Hong Kong. L’agence s’est engagée à intégrer ces suggestions dans son plan « 15e Plan quinquennal » pour un port intelligent, qui vise une augmentation de 30 % de la capacité de traitement horaire d’ici 2027.
Pourquoi c’est important pour les gestionnaires de mobilité : Shenzhen est le point d’entrée de nombreux ingénieurs expatriés faisant la navette entre les campus technologiques du continent et le centre financier de Hong Kong. Des formalités frontalières plus fluides réduisent la fatigue liée aux jours de déplacement et diminuent les coûts de transport terrestre pour les entreprises opérant en mode bureau double.
Les entreprises doivent suivre de près les prochains programmes pilotes permettant aux navettes d’entreprise de transmettre à l’avance les listes de passagers, ce qui pourrait permettre des contrôles d’immigration directement à bord des bus — un avantage considérable pour les flux importants de navetteurs entre les deux villes.
Les responsables ont confirmé que Shenzhen — qui gère déjà environ 40 % des passages frontaliers de passagers en Chine — va étendre les bornes automatiques et introduire le partage de données en temps réel avec les compagnies aériennes pour un pré-contrôle des voyageurs. Ces améliorations coïncideront avec le lancement national des cartes d’arrivée en ligne par le NIA le 20 novembre, ainsi qu’avec l’extension des exemptions de transit direct 24h/24 dans dix aéroports du continent.
Les législateurs ont demandé au Bureau du Port de réduire les temps d’attente aux heures de pointe aux points de contrôle de Futian et Shenzhen Bay, de rétablir le contrôle des passagers 24h/24 à Luohu, et d’étudier des liaisons supplémentaires en ferry vers le Skypier de l’aéroport de Hong Kong. L’agence s’est engagée à intégrer ces suggestions dans son plan « 15e Plan quinquennal » pour un port intelligent, qui vise une augmentation de 30 % de la capacité de traitement horaire d’ici 2027.
Pourquoi c’est important pour les gestionnaires de mobilité : Shenzhen est le point d’entrée de nombreux ingénieurs expatriés faisant la navette entre les campus technologiques du continent et le centre financier de Hong Kong. Des formalités frontalières plus fluides réduisent la fatigue liée aux jours de déplacement et diminuent les coûts de transport terrestre pour les entreprises opérant en mode bureau double.
Les entreprises doivent suivre de près les prochains programmes pilotes permettant aux navettes d’entreprise de transmettre à l’avance les listes de passagers, ce qui pourrait permettre des contrôles d’immigration directement à bord des bus — un avantage considérable pour les flux importants de navetteurs entre les deux villes.










