
Le ministère de l'Intérieur des Émirats arabes unis a lancé un exercice de sécurité et de gestion des urgences sur l’ensemble du pays, qui se déroulera du 11 au 13 novembre. Cet exercice mobilise les forces de police, la défense civile et les unités militaires dans les sept émirats, avec des convois, des sorties aériennes et des scénarios de crise simulés près des principales voies de transport. Les résidents sont invités à ne pas photographier ces opérations et à céder le passage aux véhicules officiels.
Bien que présenté comme un exercice de préparation, cette opération aura un impact direct sur la circulation. Des fermetures de routes imprévues autour des aéroports et sur des axes majeurs comme la Sheikh Mohammed bin Zayed Road risquent d’aggraver les embouteillages aux heures de pointe. Les aéroports de Dubaï recommandent aux voyageurs de prévoir un temps de trajet supplémentaire pour rejoindre les terminaux et d’utiliser le métro autant que possible.
Pour les entreprises organisant des déplacements professionnels ou des livraisons logistiques cette semaine aux Émirats, des plans de contingence sont indispensables. Les prestataires de services au sol à DXB et AUH confirment un programme de vols normal, mais préviennent que l’accès aux zones terrestres pour les changements d’équipage pourrait être ralenti lors des passages de convois.
Cet exercice, le plus important depuis « Resilience 1 » l’an dernier, vise à tester les cadres de commandement inter-agences et à identifier les points de blocage dans la réponse civile. Il met également en avant la volonté des Émirats d’intégrer des plateformes de surveillance intelligente et une gestion des incidents pilotée par l’IA — des technologies qui pourraient à terme accélérer les évacuations des halls d’immigration ou les contrôles biologiques en cas de crise réelle.
Les voyageurs sont invités à suivre les comptes officiels sur les réseaux sociaux pour des alertes trafic en temps réel et à respecter l’interdiction de photographier ; toute infraction peut entraîner une amende pouvant aller jusqu’à 50 000 AED selon la législation sur la cybercriminalité. Le retour à une circulation normale est attendu dès le matin du 14 novembre.
Bien que présenté comme un exercice de préparation, cette opération aura un impact direct sur la circulation. Des fermetures de routes imprévues autour des aéroports et sur des axes majeurs comme la Sheikh Mohammed bin Zayed Road risquent d’aggraver les embouteillages aux heures de pointe. Les aéroports de Dubaï recommandent aux voyageurs de prévoir un temps de trajet supplémentaire pour rejoindre les terminaux et d’utiliser le métro autant que possible.
Pour les entreprises organisant des déplacements professionnels ou des livraisons logistiques cette semaine aux Émirats, des plans de contingence sont indispensables. Les prestataires de services au sol à DXB et AUH confirment un programme de vols normal, mais préviennent que l’accès aux zones terrestres pour les changements d’équipage pourrait être ralenti lors des passages de convois.
Cet exercice, le plus important depuis « Resilience 1 » l’an dernier, vise à tester les cadres de commandement inter-agences et à identifier les points de blocage dans la réponse civile. Il met également en avant la volonté des Émirats d’intégrer des plateformes de surveillance intelligente et une gestion des incidents pilotée par l’IA — des technologies qui pourraient à terme accélérer les évacuations des halls d’immigration ou les contrôles biologiques en cas de crise réelle.
Les voyageurs sont invités à suivre les comptes officiels sur les réseaux sociaux pour des alertes trafic en temps réel et à respecter l’interdiction de photographier ; toute infraction peut entraîner une amende pouvant aller jusqu’à 50 000 AED selon la législation sur la cybercriminalité. Le retour à une circulation normale est attendu dès le matin du 14 novembre.









