
Moins de 24 heures après l’explosion mortelle d’une voiture piégée devant la porte 1 de la station de métro Red Fort à Delhi, le ministère britannique des Affaires étrangères, du Commonwealth et du Développement (FCDO) a publié un avis de voyage actualisé pour l’Inde. Publié dans l’après-midi du 11 novembre 2025, cet avis invite les ressortissants britanniques à faire preuve d’une « vigilance accrue » dans la région de la capitale nationale, à suivre les consignes des autorités locales et à suivre les médias indiens pour les mises à jour sécuritaires. Il met en garde contre la possible invalidation des assurances voyage en cas de non-respect de ces recommandations.
Le FCDO émet rarement des alertes de sécurité à court terme ciblant Delhi, ce qui souligne l’inquiétude grandissante face à un risque d’attaque supplémentaire. Les agences de sécurité indiennes ont placé les aéroports, stations de métro et bâtiments gouvernementaux en alerte maximale, déployant des renforts de la Central Industrial Security Force (CISF) et des équipes de détection d’explosifs dans toute la capitale. Les enquêteurs n’ont pas encore confirmé les responsables, mais le ministre de l’Intérieur, Amit Shah, a indiqué que plusieurs équipes examinent « toutes les pistes possibles », y compris le financement terroriste transfrontalier et les réseaux extrémistes locaux.
Pour les responsables de la mobilité en entreprise, cet avis a des conséquences concrètes. Les entreprises envoyant du personnel en mission courte en Inde doivent revoir leurs politiques de gestion des risques liés aux déplacements, s’assurer que leurs prestataires de services de protection peuvent organiser une extraction d’urgence, et vérifier la couverture d’assurance des employés transitant par Delhi. Les équipes RH doivent également rappeler aux voyageurs d’affaires de s’enregistrer auprès de leur ambassade et de prévoir des marges de temps supplémentaires en cas de contrôles de sécurité renforcés à l’aéroport international Indira Gandhi.
Cet avis ne constitue pas une interdiction formelle, mais l’expérience montre que les assureurs refusent souvent les indemnisations si un voyageur se rend dans des zones signalées par le FCDO. Les multinationales implantées à Delhi, notamment dans les secteurs des technologies de l’information et du conseil concentrés à Gurugram et Noida, réévaluent donc les déplacements non essentiels et privilégient les solutions virtuelles jusqu’à stabilisation de la situation sécuritaire.
Les tour-opérateurs indiens redoutent un effet domino sur le tourisme de loisirs pendant la saison hivernale, particulièrement lucrative. Ils pressent le ministère du Tourisme de lancer une campagne de réassurance et d’accélérer les approbations de visas électroniques pour les ressortissants britanniques une fois la crise immédiate passée. Le rétablissement de la confiance des voyageurs dépendra en grande partie de la rapidité avec laquelle les enquêteurs identifieront et neutraliseront le réseau à l’origine de l’attaque de lundi.
Le FCDO émet rarement des alertes de sécurité à court terme ciblant Delhi, ce qui souligne l’inquiétude grandissante face à un risque d’attaque supplémentaire. Les agences de sécurité indiennes ont placé les aéroports, stations de métro et bâtiments gouvernementaux en alerte maximale, déployant des renforts de la Central Industrial Security Force (CISF) et des équipes de détection d’explosifs dans toute la capitale. Les enquêteurs n’ont pas encore confirmé les responsables, mais le ministre de l’Intérieur, Amit Shah, a indiqué que plusieurs équipes examinent « toutes les pistes possibles », y compris le financement terroriste transfrontalier et les réseaux extrémistes locaux.
Pour les responsables de la mobilité en entreprise, cet avis a des conséquences concrètes. Les entreprises envoyant du personnel en mission courte en Inde doivent revoir leurs politiques de gestion des risques liés aux déplacements, s’assurer que leurs prestataires de services de protection peuvent organiser une extraction d’urgence, et vérifier la couverture d’assurance des employés transitant par Delhi. Les équipes RH doivent également rappeler aux voyageurs d’affaires de s’enregistrer auprès de leur ambassade et de prévoir des marges de temps supplémentaires en cas de contrôles de sécurité renforcés à l’aéroport international Indira Gandhi.
Cet avis ne constitue pas une interdiction formelle, mais l’expérience montre que les assureurs refusent souvent les indemnisations si un voyageur se rend dans des zones signalées par le FCDO. Les multinationales implantées à Delhi, notamment dans les secteurs des technologies de l’information et du conseil concentrés à Gurugram et Noida, réévaluent donc les déplacements non essentiels et privilégient les solutions virtuelles jusqu’à stabilisation de la situation sécuritaire.
Les tour-opérateurs indiens redoutent un effet domino sur le tourisme de loisirs pendant la saison hivernale, particulièrement lucrative. Ils pressent le ministère du Tourisme de lancer une campagne de réassurance et d’accélérer les approbations de visas électroniques pour les ressortissants britanniques une fois la crise immédiate passée. Le rétablissement de la confiance des voyageurs dépendra en grande partie de la rapidité avec laquelle les enquêteurs identifieront et neutraliseront le réseau à l’origine de l’attaque de lundi.











