
À partir du 11 novembre 2025, toutes les demandes de visa étudiant devront répondre à des exigences financières renforcées, conformément aux modifications annoncées dans la déclaration d'octobre sur les règles d'immigration. Les étudiants à Londres devront désormais justifier de 1 529 £ par mois (jusqu’à neuf mois), contre 1 483 £ auparavant, tandis que ceux hors de Londres devront prouver 1 171 £ par mois, contre 1 023 £ précédemment. Pour un cursus londonien classique de trois ans, les fonds requis s’élèvent désormais à 13 761 £, hors frais de scolarité.
Les universités se sont empressées de mettre à jour leurs lettres d’offre et modèles de CAS. Brunel University, par exemple, a publié un avis le jour même, invitant les futurs étudiants à vérifier leurs relevés bancaires et à s’assurer que le montant requis est disponible pendant 28 jours consécutifs. Certains candidats pour la rentrée de janvier devront compléter leurs comptes ou reporter leur inscription, selon les agents.
Pour les sponsors, cette modification accroît les risques de non-conformité : délivrer un CAS basé sur des montants obsolètes peut entraîner des refus de visa et une dégradation du statut de sponsor. Les équipes mobilité, en charge du transfert des diplômés, devront également prévoir des avances plus importantes ou des prêts sur salaire, notamment pour les personnes à charge, qui augmentent de 50 % le montant requis. Les propriétaires et gestionnaires de logements pourraient voir une hausse de la demande pour des options plus abordables en dehors de Londres, les étudiants cherchant à réduire leurs dépenses.
Le Home Office justifie cette hausse par l’inflation, assurant que les étudiants puissent subvenir à leurs besoins sans recourir aux aides publiques. Les détracteurs dénoncent un calendrier mal choisi, en plein cycle académique, créant incertitude et désavantage pour les candidats issus de régions à faibles revenus. Universities UK a demandé une période de transition, qui n’a pas été accordée.
Concrètement, les employeurs parrainant des stagiaires ou des apprentis en cursus intégré doivent vérifier que les documents financiers respectent désormais ce nouveau seuil. Les équipes RH doivent informer sans délai les campus étrangers et les prestataires de parcours ; un manquement pourrait retarder les inscriptions et, par conséquent, le démarrage des projets.
Les universités se sont empressées de mettre à jour leurs lettres d’offre et modèles de CAS. Brunel University, par exemple, a publié un avis le jour même, invitant les futurs étudiants à vérifier leurs relevés bancaires et à s’assurer que le montant requis est disponible pendant 28 jours consécutifs. Certains candidats pour la rentrée de janvier devront compléter leurs comptes ou reporter leur inscription, selon les agents.
Pour les sponsors, cette modification accroît les risques de non-conformité : délivrer un CAS basé sur des montants obsolètes peut entraîner des refus de visa et une dégradation du statut de sponsor. Les équipes mobilité, en charge du transfert des diplômés, devront également prévoir des avances plus importantes ou des prêts sur salaire, notamment pour les personnes à charge, qui augmentent de 50 % le montant requis. Les propriétaires et gestionnaires de logements pourraient voir une hausse de la demande pour des options plus abordables en dehors de Londres, les étudiants cherchant à réduire leurs dépenses.
Le Home Office justifie cette hausse par l’inflation, assurant que les étudiants puissent subvenir à leurs besoins sans recourir aux aides publiques. Les détracteurs dénoncent un calendrier mal choisi, en plein cycle académique, créant incertitude et désavantage pour les candidats issus de régions à faibles revenus. Universities UK a demandé une période de transition, qui n’a pas été accordée.
Concrètement, les employeurs parrainant des stagiaires ou des apprentis en cursus intégré doivent vérifier que les documents financiers respectent désormais ce nouveau seuil. Les équipes RH doivent informer sans délai les campus étrangers et les prestataires de parcours ; un manquement pourrait retarder les inscriptions et, par conséquent, le démarrage des projets.








