
L’Ordonnance sur l’Immigration (Visa de Transit pour Passagers) (Modification) (n° 3) 2025 (SI 2025/1068) est entrée en vigueur le 11 novembre 2025. Ce texte modifie la liste des nationalités nécessitant un visa de transit lors d’une correspondance dans les aéroports britanniques sans passage par le contrôle aux frontières. Bien que les détails complets figurent en annexe, les professionnels confirment de nouvelles exigences pour certains passeports d’Afrique de l’Ouest et du Moyen-Orient, ainsi que des ajustements techniques liés à la reconnaissance de la Palestine.
Les compagnies aériennes et les agents au sol doivent mettre à jour immédiatement Timatic et leurs systèmes internes de vérification. Le non-refus d’embarquement à un passager nécessitant un visa de transit expose les transporteurs à une amende de 10 000 £ par passager. Plusieurs compagnies, dont British Airways et Qatar Airways, ont diffusé en urgence des tableaux récapitulatifs à destination du personnel d’enregistrement.
Les responsables des voyages d’affaires doivent vérifier leurs outils de réservation automatisés : il est crucial de filtrer par « visa requis » plutôt que par « entrée requise » pour les correspondances au sein du même aéroport. Les employés voyageant à court terme — notamment les ingénieurs du secteur pétrolier et gazier en transit à Heathrow vers Aberdeen — risquent d’être pris au dépourvu.
Le Home Office n’a pas prévu de période de transition, invoquant le risque d’un afflux massif de voyageurs avant l’entrée en vigueur. Les équipes mobilité sont invitées à informer les expatriés et les détachés revenant de congés que le billet combiné ne garantit plus automatiquement l’admissibilité. Les prestataires de visas signalent une hausse des demandes de « transit au Royaume-Uni » et alertent sur des délais de traitement pouvant atteindre 15 jours dans certaines régions.
À long terme, cette ordonnance harmonise la politique de transit avec la tendance générale vers les eVisas et les systèmes numériques d’autorisation de voyage. Dès que la couverture de l’Autorisation Électronique de Voyage s’étendra aux passagers en zone airside en 2026, le régime autonome du visa de transit pourrait être supprimé.
Les compagnies aériennes et les agents au sol doivent mettre à jour immédiatement Timatic et leurs systèmes internes de vérification. Le non-refus d’embarquement à un passager nécessitant un visa de transit expose les transporteurs à une amende de 10 000 £ par passager. Plusieurs compagnies, dont British Airways et Qatar Airways, ont diffusé en urgence des tableaux récapitulatifs à destination du personnel d’enregistrement.
Les responsables des voyages d’affaires doivent vérifier leurs outils de réservation automatisés : il est crucial de filtrer par « visa requis » plutôt que par « entrée requise » pour les correspondances au sein du même aéroport. Les employés voyageant à court terme — notamment les ingénieurs du secteur pétrolier et gazier en transit à Heathrow vers Aberdeen — risquent d’être pris au dépourvu.
Le Home Office n’a pas prévu de période de transition, invoquant le risque d’un afflux massif de voyageurs avant l’entrée en vigueur. Les équipes mobilité sont invitées à informer les expatriés et les détachés revenant de congés que le billet combiné ne garantit plus automatiquement l’admissibilité. Les prestataires de visas signalent une hausse des demandes de « transit au Royaume-Uni » et alertent sur des délais de traitement pouvant atteindre 15 jours dans certaines régions.
À long terme, cette ordonnance harmonise la politique de transit avec la tendance générale vers les eVisas et les systèmes numériques d’autorisation de voyage. Dès que la couverture de l’Autorisation Électronique de Voyage s’étendra aux passagers en zone airside en 2026, le régime autonome du visa de transit pourrait être supprimé.










