
Le Bundespolizeipräsidium de Potsdam a lancé une opération spéciale de trois jours, du 14 au 16 novembre, dans plus d’une dizaine des gares les plus fréquentées d’Allemagne, dont Berlin Hauptbahnhof, Hamburg-Altona, Cologne et Munich-Pasing. Cette intervention fait suite à une série d’agressions graves et vise à rassurer les voyageurs avant la période des déplacements de Noël.
Détails opérationnels
• Plus de 1 200 agents effectueront des fouilles d’armes, des contrôles d’identité et des patrouilles en civil sur les quais et dans les halls.
• Des équipes mobiles de vérification d’identité, équipées de lecteurs biométriques portables connectés à la base de données Entry/Exit récemment mise à jour, seront testées à Cologne et Francfort.
• Les unités de sécurité et les équipes cynophiles de la Deutsche Bahn sont intégrées à la chaîne de commandement pour limiter les perturbations.
Pourquoi les responsables de la mobilité internationale doivent s’en préoccuper
Les voyageurs d’affaires transitant par ces hubs doivent prévoir un temps supplémentaire pour les contrôles ponctuels. Les agents peuvent demander aux employés étrangers de présenter leur passeport ou carte de séjour, même lors de trajets intérieurs, conformément à l’article 23 du BPolG en cas de risque accru. Les entreprises doivent veiller à ce que leurs collaborateurs mobiles disposent des documents originaux, et non de copies, afin d’éviter des contrôles secondaires.
Contexte
Cette opération fait suite à une intervention réussie en octobre, qui a permis la saisie de 214 armes prohibées et l’identification de 98 infractions liées à des documents de voyage falsifiés ou périmés. Les données de la Police fédérale révèlent une hausse de 17 % des incidents violents dans les grandes gares par rapport à l’année précédente, due en partie à l’augmentation du nombre de passagers et aux répercussions des contrôles aux frontières.
Réactions des parties prenantes
L’Association allemande de gestion des voyages (VDR) a salué cette intensification des contrôles, tout en appelant à une meilleure communication envers les passagers pour éviter les correspondances manquées. Les associations de défense des droits civiques ont de nouveau critiqué l’étendue des pouvoirs de fouille, dénonçant un risque de profilage racial — une accusation rejetée par le ministère de l’Intérieur, qui s’appuie sur les images des caméras corporelles et les comités de contrôle.
Détails opérationnels
• Plus de 1 200 agents effectueront des fouilles d’armes, des contrôles d’identité et des patrouilles en civil sur les quais et dans les halls.
• Des équipes mobiles de vérification d’identité, équipées de lecteurs biométriques portables connectés à la base de données Entry/Exit récemment mise à jour, seront testées à Cologne et Francfort.
• Les unités de sécurité et les équipes cynophiles de la Deutsche Bahn sont intégrées à la chaîne de commandement pour limiter les perturbations.
Pourquoi les responsables de la mobilité internationale doivent s’en préoccuper
Les voyageurs d’affaires transitant par ces hubs doivent prévoir un temps supplémentaire pour les contrôles ponctuels. Les agents peuvent demander aux employés étrangers de présenter leur passeport ou carte de séjour, même lors de trajets intérieurs, conformément à l’article 23 du BPolG en cas de risque accru. Les entreprises doivent veiller à ce que leurs collaborateurs mobiles disposent des documents originaux, et non de copies, afin d’éviter des contrôles secondaires.
Contexte
Cette opération fait suite à une intervention réussie en octobre, qui a permis la saisie de 214 armes prohibées et l’identification de 98 infractions liées à des documents de voyage falsifiés ou périmés. Les données de la Police fédérale révèlent une hausse de 17 % des incidents violents dans les grandes gares par rapport à l’année précédente, due en partie à l’augmentation du nombre de passagers et aux répercussions des contrôles aux frontières.
Réactions des parties prenantes
L’Association allemande de gestion des voyages (VDR) a salué cette intensification des contrôles, tout en appelant à une meilleure communication envers les passagers pour éviter les correspondances manquées. Les associations de défense des droits civiques ont de nouveau critiqué l’étendue des pouvoirs de fouille, dénonçant un risque de profilage racial — une accusation rejetée par le ministère de l’Intérieur, qui s’appuie sur les images des caméras corporelles et les comités de contrôle.








