
Tôt le 11 novembre, des agents de la Bundespolizei postés dans une aire de repos sur l’autoroute A30 près de Bad Bentheim ont arrêté un passager de bus de 24 ans recherché pour conduite sans permis. Cette inspection de routine s’inscrit dans le cadre des contrôles temporaires aux frontières intérieures du Schengen en Allemagne, en vigueur aux frontières néerlandaise et polonaise jusqu’au moins mars 2026.
Faits clés
• L’individu, incapable de régler une amende de 900 €, a été transféré dans un centre pénitentiaire local pour purger une peine de substitution de 30 jours.
• Le car longue distance, en provenance d’Amsterdam à destination de Berlin, transportait 38 passagers. Les contrôles ont retardé le bus d’environ 25 minutes.
Contexte général
Face à l’augmentation des migrations irrégulières et du trafic d’armes, l’Allemagne a rétabli en septembre 2024 les contrôles à ses frontières terrestres ouest et est. Les statistiques mensuelles de la police fédérale indiquent que les contrôles ponctuels sur les bus représentent 23 % des interpellations dans ce cadre.
Conséquences pour les employeurs et gestionnaires de voyages
1. Les employés utilisant les cars interurbains pour se rendre dans des bureaux allemands doivent impérativement présenter un passeport ou une carte d’identité européenne valide ; le permis de conduire ne suffit pas.
2. Des retards de 15 à 45 minutes sont fréquents aux points de contrôle dans les aires de repos — il convient d’en tenir compte dans les politiques de gestion des déplacements et de responsabilité.
3. Le personnel non européen en séjour court dans l’espace Schengen doit surveiller scrupuleusement la durée de son séjour ; un dépassement détecté lors des contrôles intérieurs peut entraîner des interdictions d’entrée.
Perspectives politiques
Alors que la Commission européenne poursuit plusieurs États membres pour « prolongation » des contrôles internes, Berlin défend la mesure comme proportionnée et annonce une réévaluation avant Pâques. Les groupes d’affaires transfrontaliers, dont la Chambre de commerce néerlando-allemande, ont demandé la mise en place de voies rapides dédiées au trafic pendulaire, mais aucune décision n’a encore été prise.
Faits clés
• L’individu, incapable de régler une amende de 900 €, a été transféré dans un centre pénitentiaire local pour purger une peine de substitution de 30 jours.
• Le car longue distance, en provenance d’Amsterdam à destination de Berlin, transportait 38 passagers. Les contrôles ont retardé le bus d’environ 25 minutes.
Contexte général
Face à l’augmentation des migrations irrégulières et du trafic d’armes, l’Allemagne a rétabli en septembre 2024 les contrôles à ses frontières terrestres ouest et est. Les statistiques mensuelles de la police fédérale indiquent que les contrôles ponctuels sur les bus représentent 23 % des interpellations dans ce cadre.
Conséquences pour les employeurs et gestionnaires de voyages
1. Les employés utilisant les cars interurbains pour se rendre dans des bureaux allemands doivent impérativement présenter un passeport ou une carte d’identité européenne valide ; le permis de conduire ne suffit pas.
2. Des retards de 15 à 45 minutes sont fréquents aux points de contrôle dans les aires de repos — il convient d’en tenir compte dans les politiques de gestion des déplacements et de responsabilité.
3. Le personnel non européen en séjour court dans l’espace Schengen doit surveiller scrupuleusement la durée de son séjour ; un dépassement détecté lors des contrôles intérieurs peut entraîner des interdictions d’entrée.
Perspectives politiques
Alors que la Commission européenne poursuit plusieurs États membres pour « prolongation » des contrôles internes, Berlin défend la mesure comme proportionnée et annonce une réévaluation avant Pâques. Les groupes d’affaires transfrontaliers, dont la Chambre de commerce néerlando-allemande, ont demandé la mise en place de voies rapides dédiées au trafic pendulaire, mais aucune décision n’a encore été prise.








