
Le portail médical Medscape Europe a publié le 11 novembre un guide complet détaillant les démarches que doivent suivre les médecins hors UE pour exercer légalement en Belgique. L’article décrit le processus étape par étape : obtenir un visa de long séjour de type D, faire reconnaître l’équivalence académique du diplôme médical, obtenir l’accréditation professionnelle auprès de l’AFSAPS (Service public fédéral Santé publique), puis s’inscrire à l’Ordre des Médecins pour recevoir un numéro INAMI. Les délais de traitement varient généralement entre trois et neuf mois.
Le guide souligne que les médecins diplômés dans l’UE bénéficient d’une reconnaissance automatique de leur diplôme selon la directive 2005/36/CE, mais doivent néanmoins justifier d’un niveau de langue B2 (voire C1 pour certaines spécialités) en néerlandais, français ou allemand, selon la région d’exercice. Pour les médecins hors UE, des stages d’adaptation ou des examens supplémentaires peuvent être exigés, ce qui complique et renchérit la procédure.
Dans ce contexte multilingue, les responsables mobilité doivent aligner les budgets de formation linguistique avec les délais des missions. Les hôpitaux de Bruxelles et de Flandre signalent des pénuries en anesthésiologie et gériatrie, offrant des primes à la signature aux spécialistes étrangers capables de franchir les obstacles réglementaires. L’article mentionne également des plateformes de recherche d’emploi telles qu’Actiris, Le Forem et VDAB, qui peuvent être intégrées aux dispositifs d’accompagnement à la mobilité internationale.
Sur le plan de la conformité en matière d’immigration, cette publication arrive à point nommé : la Flandre mettra en place en janvier 2026 une procédure accélérée pour les professionnels de santé hautement qualifiés, tandis que le seuil salarial pour les titulaires de permis de travail à Bruxelles sera relevé à 4 748 € brut par mois à partir du 1er janvier 2025. Les équipes RH en charge du recrutement de médecins expatriés devront prévoir une rémunération garantie plus élevée et intégrer les cotisations sociales dans le cadre du régime fiscal spécial des expatriés en Belgique.
Le guide souligne que les médecins diplômés dans l’UE bénéficient d’une reconnaissance automatique de leur diplôme selon la directive 2005/36/CE, mais doivent néanmoins justifier d’un niveau de langue B2 (voire C1 pour certaines spécialités) en néerlandais, français ou allemand, selon la région d’exercice. Pour les médecins hors UE, des stages d’adaptation ou des examens supplémentaires peuvent être exigés, ce qui complique et renchérit la procédure.
Dans ce contexte multilingue, les responsables mobilité doivent aligner les budgets de formation linguistique avec les délais des missions. Les hôpitaux de Bruxelles et de Flandre signalent des pénuries en anesthésiologie et gériatrie, offrant des primes à la signature aux spécialistes étrangers capables de franchir les obstacles réglementaires. L’article mentionne également des plateformes de recherche d’emploi telles qu’Actiris, Le Forem et VDAB, qui peuvent être intégrées aux dispositifs d’accompagnement à la mobilité internationale.
Sur le plan de la conformité en matière d’immigration, cette publication arrive à point nommé : la Flandre mettra en place en janvier 2026 une procédure accélérée pour les professionnels de santé hautement qualifiés, tandis que le seuil salarial pour les titulaires de permis de travail à Bruxelles sera relevé à 4 748 € brut par mois à partir du 1er janvier 2025. Les équipes RH en charge du recrutement de médecins expatriés devront prévoir une rémunération garantie plus élevée et intégrer les cotisations sociales dans le cadre du régime fiscal spécial des expatriés en Belgique.











