
Alors que le gouvernement néerlandais a annoncé le 10 novembre la prolongation de ses contrôles temporaires aux frontières Schengen jusqu’au 8 juin 2026, un communiqué de la Commission européenne révèle qu’Autriche maintiendra ses contrôles internes avec la Hongrie et la Slovénie au moins jusqu’au 15 décembre 2025.
Vienne a réintroduit ces contrôles lors de la crise migratoire de 2015 et les renouvelle tous les six mois, invoquant les routes migratoires irrégulières à travers les Balkans occidentaux. Les chauffeurs de poids lourds signalent des temps d’attente pouvant atteindre 45 minutes à Nickelsdorf et Spielfeld, ce qui alourdit les coûts des chaînes d’approvisionnement just-in-time. Les associations logistiques alertent que ces prolongations successives fragilisent l’une des libertés fondamentales du marché unique : la libre circulation fluide des marchandises.
Pour les responsables mobilité, cette situation implique que les employés conduisant des voitures de location ou des navettes à travers ces frontières doivent toujours être munis d’un passeport ou d’une carte d’identité nationale. Les entreprises transférant du matériel entre sites autrichiens et hongrois doivent anticiper d’éventuels retards et envisager des déclarations de transit électroniques pour accélérer les formalités.
Des experts juridiques rappellent que la Cour de justice de l’Union européenne a déjà statué que ces contrôles internes doivent être strictement limités dans le temps ; toutefois, les États membres justifient ces prolongations par la conjonction de crises successives (terrorisme, pandémie, migration irrégulière). La Commission devrait publier de nouvelles directives début 2026, mais d’ici là, la police aux frontières autrichienne maintiendra ses unités mobiles.
Les équipes en charge des risques liés aux déplacements doivent suivre quotidiennement les rapports de congestion et conseiller le personnel à privilégier les passages secondaires lorsque cela est possible. Les liaisons ferroviaires via le Railjet de l’ÖBB restent inchangées et constituent une alternative ponctuelle pour les navetteurs transfrontaliers.
Vienne a réintroduit ces contrôles lors de la crise migratoire de 2015 et les renouvelle tous les six mois, invoquant les routes migratoires irrégulières à travers les Balkans occidentaux. Les chauffeurs de poids lourds signalent des temps d’attente pouvant atteindre 45 minutes à Nickelsdorf et Spielfeld, ce qui alourdit les coûts des chaînes d’approvisionnement just-in-time. Les associations logistiques alertent que ces prolongations successives fragilisent l’une des libertés fondamentales du marché unique : la libre circulation fluide des marchandises.
Pour les responsables mobilité, cette situation implique que les employés conduisant des voitures de location ou des navettes à travers ces frontières doivent toujours être munis d’un passeport ou d’une carte d’identité nationale. Les entreprises transférant du matériel entre sites autrichiens et hongrois doivent anticiper d’éventuels retards et envisager des déclarations de transit électroniques pour accélérer les formalités.
Des experts juridiques rappellent que la Cour de justice de l’Union européenne a déjà statué que ces contrôles internes doivent être strictement limités dans le temps ; toutefois, les États membres justifient ces prolongations par la conjonction de crises successives (terrorisme, pandémie, migration irrégulière). La Commission devrait publier de nouvelles directives début 2026, mais d’ici là, la police aux frontières autrichienne maintiendra ses unités mobiles.
Les équipes en charge des risques liés aux déplacements doivent suivre quotidiennement les rapports de congestion et conseiller le personnel à privilégier les passages secondaires lorsque cela est possible. Les liaisons ferroviaires via le Railjet de l’ÖBB restent inchangées et constituent une alternative ponctuelle pour les navetteurs transfrontaliers.











