
Les voyageurs indiens disposent enfin de directives claires concernant la populaire procédure de visa à l’arrivée aux Émirats arabes unis, suite à la publication par Abu Dhabi d’un avis consolidé daté du 9 novembre. Ce communiqué confirme que les citoyens indiens titulaires d’un visa ou d’un permis de séjour valide et non expiré des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’UE/Schengen, du Canada, de l’Australie, de la Nouvelle-Zélande, du Japon, de Singapour ou de la Corée du Sud peuvent obtenir un visa à entrée unique aux Émirats à leur arrivée.
Deux tarifs standardisés sont désormais appliqués à l’échelle nationale : 100 AED (environ 2 260 ₹) pour 14 jours et 250 AED (environ 5 650 ₹) pour 60 jours. Ces visas peuvent être prolongés une fois pour la même durée moyennant 250 AED, tandis que les amendes pour dépassement de séjour sont fixées à 50 AED par jour. Il est essentiel que les voyageurs présentent le visa ou la carte de résidence physique du pays tiers concerné, les copies numériques n’étant pas acceptées aux bornes électroniques d’immigration.
Pour les équipes de mobilité d’entreprise, cette clarification met fin aux incohérences entre aéroports qui compliquaient les voyages d’affaires de dernière minute. Les organisateurs de congrès à Dubaï anticipent un flux plus fluide de délégués en provenance d’Inde, tandis que les gestionnaires des risques liés aux voyages saluent la transparence sur les pénalités de dépassement, facilitant leur intégration dans les polices d’assurance. Les compagnies aériennes telles qu’IndiGo et Air India Express, qui assurent plus de 500 vols hebdomadaires entre l’Inde et les Émirats, prévoient une hausse des réservations de loisirs spontanées.
Les cabinets de conseil soulignent toutefois que ce dispositif reste limité à une entrée unique. Les voyageurs fréquents militent pour une version multi-entrées, à l’image des modèles pour visiteurs d’affaires de Singapour et du Qatar. Les autorités émiraties ont indiqué que cette option est « à l’étude » dans le cadre d’une refonte plus large des visas post-pandémie.
Les détenteurs de passeports indiens ne disposant pas d’un titre de séjour valide dans un pays tiers doivent toujours obtenir un e-visa avant leur départ. Il est recommandé aux voyageurs de vérifier la validité de leur passeport (minimum six mois) et de présenter une preuve de continuation de voyage ainsi que de réservation d’hôtel afin d’éviter tout refus discrétionnaire.
Deux tarifs standardisés sont désormais appliqués à l’échelle nationale : 100 AED (environ 2 260 ₹) pour 14 jours et 250 AED (environ 5 650 ₹) pour 60 jours. Ces visas peuvent être prolongés une fois pour la même durée moyennant 250 AED, tandis que les amendes pour dépassement de séjour sont fixées à 50 AED par jour. Il est essentiel que les voyageurs présentent le visa ou la carte de résidence physique du pays tiers concerné, les copies numériques n’étant pas acceptées aux bornes électroniques d’immigration.
Pour les équipes de mobilité d’entreprise, cette clarification met fin aux incohérences entre aéroports qui compliquaient les voyages d’affaires de dernière minute. Les organisateurs de congrès à Dubaï anticipent un flux plus fluide de délégués en provenance d’Inde, tandis que les gestionnaires des risques liés aux voyages saluent la transparence sur les pénalités de dépassement, facilitant leur intégration dans les polices d’assurance. Les compagnies aériennes telles qu’IndiGo et Air India Express, qui assurent plus de 500 vols hebdomadaires entre l’Inde et les Émirats, prévoient une hausse des réservations de loisirs spontanées.
Les cabinets de conseil soulignent toutefois que ce dispositif reste limité à une entrée unique. Les voyageurs fréquents militent pour une version multi-entrées, à l’image des modèles pour visiteurs d’affaires de Singapour et du Qatar. Les autorités émiraties ont indiqué que cette option est « à l’étude » dans le cadre d’une refonte plus large des visas post-pandémie.
Les détenteurs de passeports indiens ne disposant pas d’un titre de séjour valide dans un pays tiers doivent toujours obtenir un e-visa avant leur départ. Il est recommandé aux voyageurs de vérifier la validité de leur passeport (minimum six mois) et de présenter une preuve de continuation de voyage ainsi que de réservation d’hôtel afin d’éviter tout refus discrétionnaire.










