
Une rare tempête de neige précoce a recouvert le sud de l’Ontario ce week-end, déposant jusqu’à 10 centimètres de neige et provoquant d’importantes perturbations des vols à l’aéroport international Pearson de Toronto (YYZ), principal hub mondial du Canada. Selon FlightAware, 232 vols ont été retardés et 57 annulés en fin de matinée dimanche, avec des répercussions ressenties à Montréal, Ottawa et dans les aéroports transfrontaliers américains.
Les équipes au sol ont dû faire face aux premières opérations significatives de dégivrage de la saison, trois semaines plus tôt que la moyenne. Les compagnies aériennes ont allongé les temps de correspondance minimum et encouragé les passagers à reporter les voyages non essentiels. Les responsables des déplacements d’entreprise rapportent que les itinéraires du lundi matin pour les équipes de projet se rendant à Calgary, New York et Londres ont connu des décalages de correspondance et des séjours d’hôtel de dernière minute.
Les autorités de Pearson ont activé le centre de commandement des opérations hivernales, en coordination avec Nav Canada et l’Administration aéroportuaire du Grand Toronto, pour prioriser les départs internationaux et long-courriers une fois les pistes dégagées. Les voyageurs munis de NEXUS ou utilisant les eGates ont néanmoins dû faire face à des files d’attente d’une heure, le CBSA ayant réaffecté des agents pour gérer les bagages mal acheminés et les passagers bloqués pour la nuit.
Cet épisode souligne l’importance d’une planification résiliente en hiver pour les entreprises pratiquant des déplacements fréquents transfrontaliers. Les experts recommandent d’intégrer des marges de 90 minutes dans les itinéraires jusqu’en février, de réserver des billets flexibles et d’inscrire les voyageurs aux applications d’alerte des compagnies aériennes pour une réaccommodation rapide. Les équipes mobilité gérant des collaborateurs en mission urgente devraient également revoir les clauses de force majeure dans les accords de relocalisation afin de couvrir les coûts liés aux aléas climatiques.
Les équipes au sol ont dû faire face aux premières opérations significatives de dégivrage de la saison, trois semaines plus tôt que la moyenne. Les compagnies aériennes ont allongé les temps de correspondance minimum et encouragé les passagers à reporter les voyages non essentiels. Les responsables des déplacements d’entreprise rapportent que les itinéraires du lundi matin pour les équipes de projet se rendant à Calgary, New York et Londres ont connu des décalages de correspondance et des séjours d’hôtel de dernière minute.
Les autorités de Pearson ont activé le centre de commandement des opérations hivernales, en coordination avec Nav Canada et l’Administration aéroportuaire du Grand Toronto, pour prioriser les départs internationaux et long-courriers une fois les pistes dégagées. Les voyageurs munis de NEXUS ou utilisant les eGates ont néanmoins dû faire face à des files d’attente d’une heure, le CBSA ayant réaffecté des agents pour gérer les bagages mal acheminés et les passagers bloqués pour la nuit.
Cet épisode souligne l’importance d’une planification résiliente en hiver pour les entreprises pratiquant des déplacements fréquents transfrontaliers. Les experts recommandent d’intégrer des marges de 90 minutes dans les itinéraires jusqu’en février, de réserver des billets flexibles et d’inscrire les voyageurs aux applications d’alerte des compagnies aériennes pour une réaccommodation rapide. Les équipes mobilité gérant des collaborateurs en mission urgente devraient également revoir les clauses de force majeure dans les accords de relocalisation afin de couvrir les coûts liés aux aléas climatiques.









