
La décision du Canada de retirer les étudiants internationaux de niveau supérieur de son nouveau quota de permis d’études marque le premier ajustement majeur au Plan des niveaux d’immigration 2026-2028 dévoilé la semaine dernière. Selon cette nouvelle politique, les étudiants admis dans un programme public de maîtrise ou de doctorat n’auront plus besoin d’une lettre d’attestation provinciale (ou territoriale), et leurs permis ne seront plus comptabilisés dans le plafond national annuel de 410 000 permis d’études.
Cette exemption vise à répondre aux inquiétudes des universités et des employeurs axés sur la recherche, qui craignaient que le plafond global annoncé en octobre ne freine le flux de talents essentiel à l’écosystème canadien de R&D. Bien qu’Ottawa maintienne sa volonté de réduire le nombre total de résidents temporaires, les autorités reconnaissent que les étudiants diplômés contribuent de manière disproportionnée à l’innovation et à la croissance du marché du travail, notamment dans les secteurs des sciences, de la technologie et de la santé, confrontés à des pénuries chroniques de compétences.
Pour les établissements, ce changement offre un répit bienvenu pour finaliser les objectifs d’admission 2026 et les budgets de bourses. Les universités avaient alerté que réduire les admissions en cycles supérieurs mettrait en péril les subventions fédérales et provinciales liées aux inscriptions et risquerait de détourner des talents précieux vers l’Australie, les États-Unis et le Royaume-Uni. Les employeurs des pôles d’intelligence artificielle comme Toronto, Montréal et Edmonton redoutaient également de perdre l’accès à un vivier constant d’assistants de recherche et de titulaires de permis de travail postdiplôme, qui passent souvent à la résidence permanente via la catégorie de l’expérience canadienne.
Concrètement, les candidats aux cycles supérieurs et leurs familles bénéficieront d’une simplification des documents et, selon une norme de service distincte d’IRCC, d’un traitement en deux semaines pour les doctorants. Les avocats en immigration recommandent aux futurs étudiants de vérifier les dates de début de programme et de s’assurer de postuler à partir du 1er janvier 2026 pour profiter de l’exemption ; les demandes antérieures nécessiteront toujours une lettre d’attestation. Les universités mettent déjà à jour leurs lettres d’admission, et les agents de recrutement à l’étranger révisent leurs supports marketing pour refléter ces nouvelles règles.
Pour les employeurs multinationaux qui gèrent des centres de R&D au Canada ou détachent du personnel pour des études supérieures, cette annonce supprime un obstacle inattendu et renforce l’utilisation stratégique du système d’enseignement supérieur canadien comme levier d’attraction des talents dans un contexte mondial d’immigration de plus en plus compétitif.
Cette exemption vise à répondre aux inquiétudes des universités et des employeurs axés sur la recherche, qui craignaient que le plafond global annoncé en octobre ne freine le flux de talents essentiel à l’écosystème canadien de R&D. Bien qu’Ottawa maintienne sa volonté de réduire le nombre total de résidents temporaires, les autorités reconnaissent que les étudiants diplômés contribuent de manière disproportionnée à l’innovation et à la croissance du marché du travail, notamment dans les secteurs des sciences, de la technologie et de la santé, confrontés à des pénuries chroniques de compétences.
Pour les établissements, ce changement offre un répit bienvenu pour finaliser les objectifs d’admission 2026 et les budgets de bourses. Les universités avaient alerté que réduire les admissions en cycles supérieurs mettrait en péril les subventions fédérales et provinciales liées aux inscriptions et risquerait de détourner des talents précieux vers l’Australie, les États-Unis et le Royaume-Uni. Les employeurs des pôles d’intelligence artificielle comme Toronto, Montréal et Edmonton redoutaient également de perdre l’accès à un vivier constant d’assistants de recherche et de titulaires de permis de travail postdiplôme, qui passent souvent à la résidence permanente via la catégorie de l’expérience canadienne.
Concrètement, les candidats aux cycles supérieurs et leurs familles bénéficieront d’une simplification des documents et, selon une norme de service distincte d’IRCC, d’un traitement en deux semaines pour les doctorants. Les avocats en immigration recommandent aux futurs étudiants de vérifier les dates de début de programme et de s’assurer de postuler à partir du 1er janvier 2026 pour profiter de l’exemption ; les demandes antérieures nécessiteront toujours une lettre d’attestation. Les universités mettent déjà à jour leurs lettres d’admission, et les agents de recrutement à l’étranger révisent leurs supports marketing pour refléter ces nouvelles règles.
Pour les employeurs multinationaux qui gèrent des centres de R&D au Canada ou détachent du personnel pour des études supérieures, cette annonce supprime un obstacle inattendu et renforce l’utilisation stratégique du système d’enseignement supérieur canadien comme levier d’attraction des talents dans un contexte mondial d’immigration de plus en plus compétitif.








