
Une correspondance obtenue via la loi sur la liberté d’information, révélée à BreakingNews.ie et initialement rapportée par le groupe Echo Live, met en lumière une inquiétude croissante du public concernant les 2 millions d’euros dépensés par l’État cette année pour six vols affrétés utilisés pour expulser 205 personnes. Des courriels adressés au ministre de la Justice, Jim O’Callaghan, dénoncent le coût élevé de certains vols, comme celui de la semaine dernière qui a permis le renvoi de 52 ressortissants géorgiens pour un montant pouvant atteindre 187 000 €, et s’interrogent sur la possibilité que des incitations au retour volontaire plus importantes seraient plus économiques.
Ces documents révèlent un conflit entre la rigueur budgétaire et la politique de dissuasion. Les responsables affirment que les vols affrétés sont un « dernier recours », utilisés lorsque les compagnies commerciales refusent d’embarquer les personnes expulsées ou lorsqu’il s’agit de groupes familiaux importants. Les détracteurs répliquent que le coût moyen de 9 800 € par passager dépasse largement la subvention actuelle de 1 200 € offerte pour un retour volontaire.
Les responsables de la mobilité en entreprise doivent noter que l’attention accrue du public accélère les mesures d’exécution. Le ministère de la Justice a déjà émis 3 870 ordres d’expulsion en 2025, un record, et confirme que des « retours rapides et équitables » resteront au cœur du prochain projet de loi sur la protection internationale. Les employés dont le permis de séjour est refusé peuvent donc s’attendre à des délais de grâce plus courts avant l’exécution des mesures.
Les équipes RH sont invitées à renforcer les contrôles internes de conformité, notamment pour les salariés en transition entre le statut Stamp 2 (étudiant) ou Stamp 1G (diplômé) et les permis de travail. Les demandes tardives risquent d’être refusées, exposant les individus à une expulsion s’ils restent en Irlande sans autorisation.
Du point de vue des politiques publiques, des organisations patronales comme IBEC estiment que ces révélations soulignent la nécessité d’élargir les programmes de retour volontaire et d’accélérer les décisions en première instance, afin de réduire à la fois les coûts et les critiques humanitaires. Il sera clair, lors de la publication des allocations budgétaires 2026 pour le ministère de la Justice le mois prochain, si le gouvernement ajuste sa stratégie.
Ces documents révèlent un conflit entre la rigueur budgétaire et la politique de dissuasion. Les responsables affirment que les vols affrétés sont un « dernier recours », utilisés lorsque les compagnies commerciales refusent d’embarquer les personnes expulsées ou lorsqu’il s’agit de groupes familiaux importants. Les détracteurs répliquent que le coût moyen de 9 800 € par passager dépasse largement la subvention actuelle de 1 200 € offerte pour un retour volontaire.
Les responsables de la mobilité en entreprise doivent noter que l’attention accrue du public accélère les mesures d’exécution. Le ministère de la Justice a déjà émis 3 870 ordres d’expulsion en 2025, un record, et confirme que des « retours rapides et équitables » resteront au cœur du prochain projet de loi sur la protection internationale. Les employés dont le permis de séjour est refusé peuvent donc s’attendre à des délais de grâce plus courts avant l’exécution des mesures.
Les équipes RH sont invitées à renforcer les contrôles internes de conformité, notamment pour les salariés en transition entre le statut Stamp 2 (étudiant) ou Stamp 1G (diplômé) et les permis de travail. Les demandes tardives risquent d’être refusées, exposant les individus à une expulsion s’ils restent en Irlande sans autorisation.
Du point de vue des politiques publiques, des organisations patronales comme IBEC estiment que ces révélations soulignent la nécessité d’élargir les programmes de retour volontaire et d’accélérer les décisions en première instance, afin de réduire à la fois les coûts et les critiques humanitaires. Il sera clair, lors de la publication des allocations budgétaires 2026 pour le ministère de la Justice le mois prochain, si le gouvernement ajuste sa stratégie.









