
Le dernier jour de la saison de prévisualisation GO!2025 (8 novembre), les villes italienne de Gorizia et slovène de Nova Gorica ont dévoilé un plan de mobilité commun visant à rendre leur frontière partagée « aussi invisible que possible » en vue de leur année en tant que Capitale européenne de la culture. Ce plan comprend un billet intelligent transfrontalier pilote valable sur les réseaux de bus italiens et slovènes, un renforcement des trains en soirée entre Udine, Gorizia et Ljubljana, ainsi qu’une simplification des contrôles dans l’espace Schengen au passage piéton de Casa Rossa.
Les maires locaux, Rodolfo Ziberna et Klemen Miklavič, ont expliqué que cette initiative répond aux besoins des navetteurs qui franchissent quotidiennement la frontière pour le travail ou les études, mais qui subissent encore des interruptions dans les horaires après 20h00. Le financement proviendra d’une enveloppe européenne Interreg de 18 millions d’euros, complétée par 5 millions d’euros de cofinancement de la région Frioul-Vénétie Julienne. Le fournisseur d’identité numérique TeamSystem développera l’infrastructure de billetterie, utilisant des codes QR compatibles avec l’application italienne IO.
Pour les gestionnaires de mobilité, ce dispositif simplifiera la gestion des frais journaliers pour le personnel transfrontalier et réduira le recours aux navettes d’entreprise. Il ouvre également la voie à des projets similaires dans les corridors italo-suisses ou italo-autrichiens, notamment avec l’entrée en vigueur du système d’entrée/sortie de l’UE prévue en octobre 2025.
Les organisateurs de l’événement prévoient que l’année culturelle attirera 600 000 visiteurs supplémentaires ; le renforcement des transports publics est donc crucial pour éviter la congestion sur la place Transalpina, étroite et célèbre pour sa position à cheval sur la frontière. À long terme, les deux municipalités souhaitent faire pression à Bruxelles pour être intégrées dans la modernisation du corridor ferroviaire Venise–Trieste–Ljubljana dans le cadre du réseau transeuropéen de transport (RTE-T).
Les maires locaux, Rodolfo Ziberna et Klemen Miklavič, ont expliqué que cette initiative répond aux besoins des navetteurs qui franchissent quotidiennement la frontière pour le travail ou les études, mais qui subissent encore des interruptions dans les horaires après 20h00. Le financement proviendra d’une enveloppe européenne Interreg de 18 millions d’euros, complétée par 5 millions d’euros de cofinancement de la région Frioul-Vénétie Julienne. Le fournisseur d’identité numérique TeamSystem développera l’infrastructure de billetterie, utilisant des codes QR compatibles avec l’application italienne IO.
Pour les gestionnaires de mobilité, ce dispositif simplifiera la gestion des frais journaliers pour le personnel transfrontalier et réduira le recours aux navettes d’entreprise. Il ouvre également la voie à des projets similaires dans les corridors italo-suisses ou italo-autrichiens, notamment avec l’entrée en vigueur du système d’entrée/sortie de l’UE prévue en octobre 2025.
Les organisateurs de l’événement prévoient que l’année culturelle attirera 600 000 visiteurs supplémentaires ; le renforcement des transports publics est donc crucial pour éviter la congestion sur la place Transalpina, étroite et célèbre pour sa position à cheval sur la frontière. À long terme, les deux municipalités souhaitent faire pression à Bruxelles pour être intégrées dans la modernisation du corridor ferroviaire Venise–Trieste–Ljubljana dans le cadre du réseau transeuropéen de transport (RTE-T).








