
Le 8 novembre, le Premier ministre Narendra Modi a inauguré virtuellement l’Express Vande Bharat Ernakulam–Bengaluru, le 78e train semi-rapide de l’Inde et le premier à relier trois États du sud du pays via un service premium unique. Parcourant 625 km en 8 heures et 40 minutes, ce « Mini » Vande Bharat de huit voitures réduit de près de trois heures les temps de trajet actuels et offre des sièges de style aérien, le wifi ainsi que des toilettes bio-vide.
Les Chemins de fer du Sud anticipent une forte affluence des professionnels de l’informatique effectuant la navette entre la capitale commerciale du Kerala et le pôle technologique du Karnataka, ainsi que des zones industrielles de Coimbatore, Tiruppur et Salem. Les responsables présentent ce service comme un levier pour faciliter les réunions clients dans la journée et les escapades de week-end, prévoyant un transfert modal de 12 à 15 % des vols courts-courriers vers le train.
Pour les équipes de mobilité internationale qui relocalisent du personnel en Inde, ce train étend la connectivité à grande vitesse au-delà des corridors Delhi–Mumbai–Chennai, offrant une alternative économique à l’avion tout en réduisant les émissions de carbone. Les entreprises peuvent intégrer les horaires du Vande Bharat dans leurs outils d’approbation de voyages et évaluer la fiabilité du service, qui affiche actuellement un taux de ponctualité supérieur à 97 % sur l’ensemble de la flotte.
Les planificateurs ferroviaires considèrent ce lancement comme un projet pilote avant de déployer des liaisons Vande Bharat inter-États à l’est et à l’ouest du pays. Un modèle Vande Bharat 4.0 prêt à l’export est également en développement, en phase avec l’objectif de l’Inde de commercialiser ses trains indigènes à l’étranger.
Cette première course a coïncidé avec le lancement de trois autres lignes Vande Bharat (Varanasi–Khajuraho, Lucknow–Saharanpur et Firozpur–Delhi), témoignant de la volonté du gouvernement de faire du train à grande vitesse la colonne vertébrale de la mobilité d’affaires nationale.
Les Chemins de fer du Sud anticipent une forte affluence des professionnels de l’informatique effectuant la navette entre la capitale commerciale du Kerala et le pôle technologique du Karnataka, ainsi que des zones industrielles de Coimbatore, Tiruppur et Salem. Les responsables présentent ce service comme un levier pour faciliter les réunions clients dans la journée et les escapades de week-end, prévoyant un transfert modal de 12 à 15 % des vols courts-courriers vers le train.
Pour les équipes de mobilité internationale qui relocalisent du personnel en Inde, ce train étend la connectivité à grande vitesse au-delà des corridors Delhi–Mumbai–Chennai, offrant une alternative économique à l’avion tout en réduisant les émissions de carbone. Les entreprises peuvent intégrer les horaires du Vande Bharat dans leurs outils d’approbation de voyages et évaluer la fiabilité du service, qui affiche actuellement un taux de ponctualité supérieur à 97 % sur l’ensemble de la flotte.
Les planificateurs ferroviaires considèrent ce lancement comme un projet pilote avant de déployer des liaisons Vande Bharat inter-États à l’est et à l’ouest du pays. Un modèle Vande Bharat 4.0 prêt à l’export est également en développement, en phase avec l’objectif de l’Inde de commercialiser ses trains indigènes à l’étranger.
Cette première course a coïncidé avec le lancement de trois autres lignes Vande Bharat (Varanasi–Khajuraho, Lucknow–Saharanpur et Firozpur–Delhi), témoignant de la volonté du gouvernement de faire du train à grande vitesse la colonne vertébrale de la mobilité d’affaires nationale.








