
Le 8 novembre 2025, le Département des Affaires étrangères et du Commerce (DFAT) a mis à jour son service Smartraveller avec une alerte mondiale de voyage inhabituelle, ciblant six destinations – les Émirats arabes unis, l’Égypte, Bahreïn, la France, le Royaume-Uni et les Philippines – pour une vigilance accrue.
Si le DFAT ajuste régulièrement ses conseils pays par pays, la décision de regrouper plusieurs destinations dans un même avis traduit une inquiétude grandissante à Canberra : des foyers de tension régionaux pourraient dégénérer en incidents liés à l’ordre public ou au terrorisme, affectant les Australiens à l’étranger. Les autorités évoquent « des risques sécuritaires évolutifs liés au conflit Israël-Gaza, des manifestations de grande ampleur et une recrudescence des discours extrémistes en ligne » comme principaux facteurs.
Pour les responsables de la mobilité internationale en entreprise, cette alerte a un impact concret. Les grandes entreprises australiennes des secteurs minier, énergétique et de la construction disposent d’importantes équipes de projet dans le Golfe, tandis que le Royaume-Uni et la France restent des destinations majeures pour les missions à l’étranger. Les employeurs sont invités à revoir leurs protocoles de devoir de diligence, à vérifier la couverture des évacuations médicales et à rappeler aux voyageurs de s’inscrire sur Smartraveller pour recevoir des alertes SMS en temps réel.
Les agences de gestion de voyages rapportent déjà une hausse des modifications d’itinéraires et des annulations de voyages « bleisure », notamment chez les jeunes collaborateurs peu expérimentés dans les déplacements à risque. Les grandes entreprises réactivent leurs dispositifs de sécurité voyage mis en place pendant la pandémie et réaffectent leurs budgets vers des technologies de suivi des voyageurs et des formations en gestion de crise.
Le DFAT insiste sur le fait que cette alerte est une mesure de précaution et que les niveaux de conseil pour ces six pays restent inchangés. Néanmoins, le département avertit que la situation est instable et qu’une escalade pourrait entraîner des restrictions plus strictes – un rappel que les entreprises australiennes doivent maintenir des stratégies de mobilité flexibles face à une incertitude géopolitique croissante.
Si le DFAT ajuste régulièrement ses conseils pays par pays, la décision de regrouper plusieurs destinations dans un même avis traduit une inquiétude grandissante à Canberra : des foyers de tension régionaux pourraient dégénérer en incidents liés à l’ordre public ou au terrorisme, affectant les Australiens à l’étranger. Les autorités évoquent « des risques sécuritaires évolutifs liés au conflit Israël-Gaza, des manifestations de grande ampleur et une recrudescence des discours extrémistes en ligne » comme principaux facteurs.
Pour les responsables de la mobilité internationale en entreprise, cette alerte a un impact concret. Les grandes entreprises australiennes des secteurs minier, énergétique et de la construction disposent d’importantes équipes de projet dans le Golfe, tandis que le Royaume-Uni et la France restent des destinations majeures pour les missions à l’étranger. Les employeurs sont invités à revoir leurs protocoles de devoir de diligence, à vérifier la couverture des évacuations médicales et à rappeler aux voyageurs de s’inscrire sur Smartraveller pour recevoir des alertes SMS en temps réel.
Les agences de gestion de voyages rapportent déjà une hausse des modifications d’itinéraires et des annulations de voyages « bleisure », notamment chez les jeunes collaborateurs peu expérimentés dans les déplacements à risque. Les grandes entreprises réactivent leurs dispositifs de sécurité voyage mis en place pendant la pandémie et réaffectent leurs budgets vers des technologies de suivi des voyageurs et des formations en gestion de crise.
Le DFAT insiste sur le fait que cette alerte est une mesure de précaution et que les niveaux de conseil pour ces six pays restent inchangés. Néanmoins, le département avertit que la situation est instable et qu’une escalade pourrait entraîner des restrictions plus strictes – un rappel que les entreprises australiennes doivent maintenir des stratégies de mobilité flexibles face à une incertitude géopolitique croissante.









