
L’Administration nationale de l’immigration chinoise (NIA) a choisi le 8 novembre pour dévoiler les détails finaux de sa transition tant attendue vers une frontière sans papier. Dès le 20 novembre, presque tous les passagers étrangers — y compris le nombre croissant de cadres autrichiens se rendant à Shanghai, Shenzhen ou Chengdu — devront remplir en ligne leur déclaration sanitaire et d’arrivée avant l’embarquement. Les voyageurs pourront effectuer cette démarche via le site web de la NIA, une application mobile dédiée « NIA 12367 » ainsi que de nouveaux mini-programmes sur WeChat et Alipay ; les compagnies aériennes ont reçu pour consigne d’afficher un code QR aux comptoirs d’enregistrement et aux portes d’embarquement.
Ce formulaire numérique supprime l’un des derniers contrôles manuels dans les aéroports chinois. Les responsables des voyages d’affaires en Autriche estiment que cette pré-déclaration fera gagner entre 5 et 10 minutes par passager et réduira les pics d’attente, souvent responsables de correspondances manquées sur les itinéraires serrés Vienne–Pékin–villes secondaires. Les multinationales intègrent déjà le lien du code QR dans leurs processus d’approbation et préviennent leurs voyageurs qu’ils pourraient être bloqués aux portiques électroniques s’ils ne peuvent présenter la confirmation générée.
La carte d’arrivée électronique s’inscrit dans un ensemble plus large de dix mesures visant à faciliter l’immigration. Les voyageurs d’affaires apprécieront l’extension du transit sans visa 24 heures côté piste (désormais valable dans dix aéroports supplémentaires, dont Tianjin, Dalian et Kunming) ainsi que l’élargissement du dispositif sans visa 240 heures dans la région de la Grande Baie du Guangdong à cinq nouveaux points d’entrée. Les experts en mobilité soulignent que cette dernière mesure aidera les fournisseurs autrichiens à accéder aux clusters industriels de Zhuhai et Foshan sans avoir à obtenir un visa M complet.
À plus long terme, Pékin laisse entendre que ce portail servira également pour les renouvellements de visas électroniques et l’analyse en temps réel, annonçant une évolution durable vers une gestion frontalière fluide mais très axée sur les données. Les entreprises autrichiennes doivent donc revoir les clauses de confidentialité des données dans leurs politiques de déplacement et s’assurer que leurs systèmes de gestion des appareils mobiles (MDM) peuvent intégrer les applications chinoises obligatoires.
Concrètement, rien ne change pour le pilote d’entrée sans visa de 30 jours pour les Autrichiens, qui est prolongé jusqu’au 31 décembre 2026 ; toutefois, les dépassements de séjour restent passibles d’amendes lourdes et ne peuvent être « réinitialisés » par un simple aller-retour à Hong Kong. Les équipes RH doivent mettre à jour leurs consignes aux voyageurs en conséquence.
Ce formulaire numérique supprime l’un des derniers contrôles manuels dans les aéroports chinois. Les responsables des voyages d’affaires en Autriche estiment que cette pré-déclaration fera gagner entre 5 et 10 minutes par passager et réduira les pics d’attente, souvent responsables de correspondances manquées sur les itinéraires serrés Vienne–Pékin–villes secondaires. Les multinationales intègrent déjà le lien du code QR dans leurs processus d’approbation et préviennent leurs voyageurs qu’ils pourraient être bloqués aux portiques électroniques s’ils ne peuvent présenter la confirmation générée.
La carte d’arrivée électronique s’inscrit dans un ensemble plus large de dix mesures visant à faciliter l’immigration. Les voyageurs d’affaires apprécieront l’extension du transit sans visa 24 heures côté piste (désormais valable dans dix aéroports supplémentaires, dont Tianjin, Dalian et Kunming) ainsi que l’élargissement du dispositif sans visa 240 heures dans la région de la Grande Baie du Guangdong à cinq nouveaux points d’entrée. Les experts en mobilité soulignent que cette dernière mesure aidera les fournisseurs autrichiens à accéder aux clusters industriels de Zhuhai et Foshan sans avoir à obtenir un visa M complet.
À plus long terme, Pékin laisse entendre que ce portail servira également pour les renouvellements de visas électroniques et l’analyse en temps réel, annonçant une évolution durable vers une gestion frontalière fluide mais très axée sur les données. Les entreprises autrichiennes doivent donc revoir les clauses de confidentialité des données dans leurs politiques de déplacement et s’assurer que leurs systèmes de gestion des appareils mobiles (MDM) peuvent intégrer les applications chinoises obligatoires.
Concrètement, rien ne change pour le pilote d’entrée sans visa de 30 jours pour les Autrichiens, qui est prolongé jusqu’au 31 décembre 2026 ; toutefois, les dépassements de séjour restent passibles d’amendes lourdes et ne peuvent être « réinitialisés » par un simple aller-retour à Hong Kong. Les équipes RH doivent mettre à jour leurs consignes aux voyageurs en conséquence.









