
Le premier avion monocouloir construit en Chine, le COMAC C919, a atterri à l’aéroport international de Hong Kong le 7 novembre pour lancer une commémoration de trois jours du « soulèvement des deux compagnies aériennes » de 1949. Le passage en vol et le salut aux canons à eau ont été salués par le secrétaire adjoint en chef Warner Cheuk comme une occasion de mettre en avant les réalisations nationales dans le domaine aérospatial auprès des habitants de Hong Kong.
Cette visite est principalement symbolique, mais elle revêt une importance en termes de mobilité. Les responsables de l’aviation ont souligné que le pôle MRO (maintenance, réparation et révision) de l’aéroport est prêt à soutenir les flottes de C919 dès que ce modèle obtiendra la certification internationale, positionnant ainsi Hong Kong comme une base potentielle de maintenance hors du continent.
Les observateurs de l’industrie estiment que cette escale s’inscrit dans la volonté de Pékin d’internationaliser les programmes aéronautiques chinois, ainsi que dans la stratégie de Hong Kong visant à renforcer les services de leasing et de formation aérospatiale dans le cadre du principe « un pays, deux systèmes ». Des dirigeants de COMAC ont rencontré des sociétés de leasing et des académies de formation hongkongaises pour explorer des pistes de collaboration, selon les organisateurs de l’événement.
Bien que le C919 ne soit pas encore autorisé à opérer commercialement en dehors de la Chine continentale, ce vol de démonstration rappelle aux planificateurs de voyages d’affaires que de nouveaux types d’avions pourraient intégrer les flottes régionales dans la prochaine décennie, avec des impacts potentiels sur les partenariats d’alliance, les offres de sièges et les critères de durabilité.
Cette visite est principalement symbolique, mais elle revêt une importance en termes de mobilité. Les responsables de l’aviation ont souligné que le pôle MRO (maintenance, réparation et révision) de l’aéroport est prêt à soutenir les flottes de C919 dès que ce modèle obtiendra la certification internationale, positionnant ainsi Hong Kong comme une base potentielle de maintenance hors du continent.
Les observateurs de l’industrie estiment que cette escale s’inscrit dans la volonté de Pékin d’internationaliser les programmes aéronautiques chinois, ainsi que dans la stratégie de Hong Kong visant à renforcer les services de leasing et de formation aérospatiale dans le cadre du principe « un pays, deux systèmes ». Des dirigeants de COMAC ont rencontré des sociétés de leasing et des académies de formation hongkongaises pour explorer des pistes de collaboration, selon les organisateurs de l’événement.
Bien que le C919 ne soit pas encore autorisé à opérer commercialement en dehors de la Chine continentale, ce vol de démonstration rappelle aux planificateurs de voyages d’affaires que de nouveaux types d’avions pourraient intégrer les flottes régionales dans la prochaine décennie, avec des impacts potentiels sur les partenariats d’alliance, les offres de sièges et les critères de durabilité.









