
Dans une décision surprise saluée par les universités axées sur la recherche, IRCC a annoncé le 7 novembre que, dès le 1er janvier 2026, les étudiants en master et en doctorat seront exemptés du plafond des permis d’études au Canada. Cette mesure supprime également l’obligation de fournir une lettre d’attestation provinciale (PAL/TAL) pour les candidats aux cycles supérieurs.
Encore mieux pour les doctorants et leurs familles, IRCC a mis en place une procédure accélérée garantissant une décision sous 14 jours — un délai équivalent à celui de l’Australie et plus rapide que les objectifs publiés du Royaume-Uni. Les personnes à charge éligibles pourront obtenir un permis de visiteur ou de travail dans le même délai, facilitant ainsi les déménagements pour les couples à double carrière.
Cette exception compense en partie la réduction de 49 % des admissions étudiantes annoncée dans le nouveau plan d’immigration et témoigne de la volonté du Canada de rester compétitif pour attirer des talents de haut niveau, notamment dans les domaines des STEM et de l’intelligence artificielle. Des universités comme l’Université de Toronto et McGill révisent déjà leurs lettres d’admission pour mettre en avant ce délai de traitement de deux semaines, tandis que les employeurs des pôles de R&D bénéficient d’un accès plus rapide aux stagiaires en alternance et aux titulaires de permis de travail postdiplôme.
Concrètement, les établissements doivent mettre à jour leurs communications d’admission et collaborer avec les autorités provinciales pour préciser qu’aucune PAL/TAL ne sera requise pour les promotions 2026. Les étudiants de cycles supérieurs devront fournir les preuves habituelles de fonds et passer les examens médicaux, mais pourront économiser les dépôts de frais de scolarité de 10 000 à 15 000 CAD que certaines provinces exigeaient pour obtenir une PAL. Les équipes en charge de la mobilité doivent informer les employés intéressés par des programmes de formation financés par l’employeur sur cette procédure simplifiée et les délais réduits.
À long terme, cette politique pourrait renforcer le vivier de compétences avancées du Canada, au moment où les plafonds pour les travailleurs temporaires se resserrent, faisant des études supérieures une voie encore plus attractive vers la résidence permanente pour les professionnels internationaux.
Encore mieux pour les doctorants et leurs familles, IRCC a mis en place une procédure accélérée garantissant une décision sous 14 jours — un délai équivalent à celui de l’Australie et plus rapide que les objectifs publiés du Royaume-Uni. Les personnes à charge éligibles pourront obtenir un permis de visiteur ou de travail dans le même délai, facilitant ainsi les déménagements pour les couples à double carrière.
Cette exception compense en partie la réduction de 49 % des admissions étudiantes annoncée dans le nouveau plan d’immigration et témoigne de la volonté du Canada de rester compétitif pour attirer des talents de haut niveau, notamment dans les domaines des STEM et de l’intelligence artificielle. Des universités comme l’Université de Toronto et McGill révisent déjà leurs lettres d’admission pour mettre en avant ce délai de traitement de deux semaines, tandis que les employeurs des pôles de R&D bénéficient d’un accès plus rapide aux stagiaires en alternance et aux titulaires de permis de travail postdiplôme.
Concrètement, les établissements doivent mettre à jour leurs communications d’admission et collaborer avec les autorités provinciales pour préciser qu’aucune PAL/TAL ne sera requise pour les promotions 2026. Les étudiants de cycles supérieurs devront fournir les preuves habituelles de fonds et passer les examens médicaux, mais pourront économiser les dépôts de frais de scolarité de 10 000 à 15 000 CAD que certaines provinces exigeaient pour obtenir une PAL. Les équipes en charge de la mobilité doivent informer les employés intéressés par des programmes de formation financés par l’employeur sur cette procédure simplifiée et les délais réduits.
À long terme, cette politique pourrait renforcer le vivier de compétences avancées du Canada, au moment où les plafonds pour les travailleurs temporaires se resserrent, faisant des études supérieures une voie encore plus attractive vers la résidence permanente pour les professionnels internationaux.









