
Une décision de l’Office du Commissaire à l’Information (OIC), publiée le 5 novembre 2025, ordonne la divulgation partielle des documents du ministère des Affaires étrangères détaillant ses conseils confidentiels au ministère de la Justice concernant la classification de l’Algérie comme « pays d’origine sûr » pour le traitement des demandes d’asile.
Le demandeur réclamait le formulaire de retour interne ayant influencé la révision de 2024 par le ministère de la Justice des listes de pays sûrs, utilisées pour accélérer le traitement des demandes d’asile. Le ministère avait refusé de communiquer de larges extraits en vertu de l’article 33 de la loi sur la liberté d’information, invoquant un risque de préjudice aux relations entre l’Irlande et l’Algérie. L’OIC a estimé que l’intérêt public justifiait la divulgation de la majorité des analyses censurées, tout en reconnaissant que certaines préoccupations du ministère recoupaient des informations déjà accessibles au public via les avis aux voyageurs.
Cette décision est cruciale pour les ONG et les avocats spécialisés en immigration, qui dénoncent le risque de refoulement lié à l’opacité des évaluations sous-jacentes aux listes de pays sûrs, mises en place pour accélérer les délais de décision. Une plus grande transparence pourrait contraindre le ministère de la Justice à justifier ces procédures accélérées et permettre aux demandeurs originaires des pays désignés de mieux préparer leurs contestations.
Les entreprises transférant du personnel d’Afrique du Nord devront suivre de près la décision finale concernant le statut « pays sûr » de l’Algérie, car cela pourrait impacter les délais de regroupement familial des ayants droit ainsi que les droits d’appel.
Le demandeur réclamait le formulaire de retour interne ayant influencé la révision de 2024 par le ministère de la Justice des listes de pays sûrs, utilisées pour accélérer le traitement des demandes d’asile. Le ministère avait refusé de communiquer de larges extraits en vertu de l’article 33 de la loi sur la liberté d’information, invoquant un risque de préjudice aux relations entre l’Irlande et l’Algérie. L’OIC a estimé que l’intérêt public justifiait la divulgation de la majorité des analyses censurées, tout en reconnaissant que certaines préoccupations du ministère recoupaient des informations déjà accessibles au public via les avis aux voyageurs.
Cette décision est cruciale pour les ONG et les avocats spécialisés en immigration, qui dénoncent le risque de refoulement lié à l’opacité des évaluations sous-jacentes aux listes de pays sûrs, mises en place pour accélérer les délais de décision. Une plus grande transparence pourrait contraindre le ministère de la Justice à justifier ces procédures accélérées et permettre aux demandeurs originaires des pays désignés de mieux préparer leurs contestations.
Les entreprises transférant du personnel d’Afrique du Nord devront suivre de près la décision finale concernant le statut « pays sûr » de l’Algérie, car cela pourrait impacter les délais de regroupement familial des ayants droit ainsi que les droits d’appel.






