
Le palais de Kensington a confirmé via le Journal Officiel que le prince de Galles a quitté Heathrow dans l’après-midi du 2 novembre 2025 en direction de Rio de Janeiro, entamant ainsi sa première visite officielle au Brésil. Son programme comprend la présidence de la cérémonie des Earthshot Prize le 5 novembre au Musée de Demain, des actions communautaires sur la plage de Copacabana, ainsi qu’un discours principal lors du Sommet des dirigeants de la COP30 à Belém le 6 novembre.
Cette visite royale souligne le renforcement de la coopération climatique entre le Royaume-Uni et le Brésil. Les diplomates britanniques profiteront de ce déplacement pour promouvoir le Partenariat financier vert UK-Brésil de 80 millions de livres lancé plus tôt cette année, et finaliser un protocole d’accord sur la surveillance satellitaire des forêts tropicales. Pour les organisateurs, la délégation du prince, composée de 45 collaborateurs et membres des médias, complique la logistique du déplacement de milliers d’invités de haut rang entre Rio et Belém durant l’une des semaines de vacances les plus chargées du Brésil.
Impacts sur la mobilité : L’Agence brésilienne de l’aviation civile (ANAC) a approuvé 12 créneaux de vols VIP à Rio-Galeão et Belém pour les avions d’État et charters entre le 2 et le 8 novembre ; les compagnies opérant ces vols doivent soumettre les listes de passagers 24 heures à l’avance. Les sociétés de gestion au sol à Belém signalent une hausse de 300 % des demandes de stationnement pour jets privés, tandis que les hôtels de São Paulo constatent un effet d’entraînement lié au repositionnement des équipes.
Les protocoles de sécurité entraîneront la fermeture temporaire de portions de la Linha Vermelha, l’autoroute express de Rio, lors du transit du cortège royal entre l’aéroport de Galeão et le centre-ville, ce qui pourrait retarder le trafic commercial. Les responsables de la mobilité en entreprise ayant des collaborateurs à Rio sont invités à suivre les consignes locales et à prévoir des itinéraires alternatifs si possible.
Retombées en matière de soft power : Le soutien très médiatisé du prince à la candidature du Brésil pour l’accueil de la COP30 pourrait inciter les multinationales britanniques à intensifier leurs projets de développement durable liés à l’Amazonie, allant de la compensation par reforestation aux pilotes d’hydrogène vert dans l’État du Pará.
Cette visite royale souligne le renforcement de la coopération climatique entre le Royaume-Uni et le Brésil. Les diplomates britanniques profiteront de ce déplacement pour promouvoir le Partenariat financier vert UK-Brésil de 80 millions de livres lancé plus tôt cette année, et finaliser un protocole d’accord sur la surveillance satellitaire des forêts tropicales. Pour les organisateurs, la délégation du prince, composée de 45 collaborateurs et membres des médias, complique la logistique du déplacement de milliers d’invités de haut rang entre Rio et Belém durant l’une des semaines de vacances les plus chargées du Brésil.
Impacts sur la mobilité : L’Agence brésilienne de l’aviation civile (ANAC) a approuvé 12 créneaux de vols VIP à Rio-Galeão et Belém pour les avions d’État et charters entre le 2 et le 8 novembre ; les compagnies opérant ces vols doivent soumettre les listes de passagers 24 heures à l’avance. Les sociétés de gestion au sol à Belém signalent une hausse de 300 % des demandes de stationnement pour jets privés, tandis que les hôtels de São Paulo constatent un effet d’entraînement lié au repositionnement des équipes.
Les protocoles de sécurité entraîneront la fermeture temporaire de portions de la Linha Vermelha, l’autoroute express de Rio, lors du transit du cortège royal entre l’aéroport de Galeão et le centre-ville, ce qui pourrait retarder le trafic commercial. Les responsables de la mobilité en entreprise ayant des collaborateurs à Rio sont invités à suivre les consignes locales et à prévoir des itinéraires alternatifs si possible.
Retombées en matière de soft power : Le soutien très médiatisé du prince à la candidature du Brésil pour l’accueil de la COP30 pourrait inciter les multinationales britanniques à intensifier leurs projets de développement durable liés à l’Amazonie, allant de la compensation par reforestation aux pilotes d’hydrogène vert dans l’État du Pará.







