
Les voyageurs d’affaires prévoyant des déplacements routiers dans les départements alpins, pyrénéens et du Massif central doivent prendre en compte une règle de sécurité entrée en vigueur le 1er novembre : les véhicules à quatre roues ou plus doivent être équipés de pneus hiver marqués 3PMSF, ou disposer de chaînes ou de chaussettes textiles « neige », et ce jusqu’au 31 mars 2026.
Cette obligation, instaurée par la loi Montagne de 2021, concerne 34 départements et s’applique aussi bien aux véhicules de société qu’aux voitures de location. Les forces de l’ordre sont habilitées à infliger une amende immédiate de 135 € et peuvent interdire l’accès aux cols aux véhicules non conformes, ce qui pourrait perturber les visites de sites liés aux stations de ski ou aux installations hydroélectriques.
Les grandes agences de location des aéroports de Lyon et Genève ont déjà renouvelé leurs flottes, mais les gestionnaires de mobilité doivent prévoir un supplément pour les pneus hiver lors des réservations. Les salariés conduisant des véhicules de leasing immatriculés en France doivent obtenir un certificat de conformité auprès des gestionnaires de flotte. Pour les expatriés déménageant avec leur véhicule personnel, les assureurs alertent que les sinistres pourraient être refusés en cas d’accident sur routes non traitées sans équipement homologué.
Le ministère des Transports a lancé un site en anglais répertoriant les communes concernées, et l’application Waze affiche désormais des alertes lorsqu’un itinéraire entre dans une zone obligatoire. Les entreprises sont invitées à diffuser des guides de planification des trajets et à prévoir un temps de transit supplémentaire, car la pose des chaînes peut prendre jusqu’à 20 minutes sur des aires de stationnement glacées.
Bien que principalement destinée à la sécurité, cette mesure impacte la mobilité internationale, car de nombreux collaborateurs choisissent les zones montagneuses pour leur logement ou leurs loisirs lors de leurs missions en France. Une communication anticipée permettra d’éviter les imprévus de dernière minute et de garantir le respect des obligations de sécurité.
Cette obligation, instaurée par la loi Montagne de 2021, concerne 34 départements et s’applique aussi bien aux véhicules de société qu’aux voitures de location. Les forces de l’ordre sont habilitées à infliger une amende immédiate de 135 € et peuvent interdire l’accès aux cols aux véhicules non conformes, ce qui pourrait perturber les visites de sites liés aux stations de ski ou aux installations hydroélectriques.
Les grandes agences de location des aéroports de Lyon et Genève ont déjà renouvelé leurs flottes, mais les gestionnaires de mobilité doivent prévoir un supplément pour les pneus hiver lors des réservations. Les salariés conduisant des véhicules de leasing immatriculés en France doivent obtenir un certificat de conformité auprès des gestionnaires de flotte. Pour les expatriés déménageant avec leur véhicule personnel, les assureurs alertent que les sinistres pourraient être refusés en cas d’accident sur routes non traitées sans équipement homologué.
Le ministère des Transports a lancé un site en anglais répertoriant les communes concernées, et l’application Waze affiche désormais des alertes lorsqu’un itinéraire entre dans une zone obligatoire. Les entreprises sont invitées à diffuser des guides de planification des trajets et à prévoir un temps de transit supplémentaire, car la pose des chaînes peut prendre jusqu’à 20 minutes sur des aires de stationnement glacées.
Bien que principalement destinée à la sécurité, cette mesure impacte la mobilité internationale, car de nombreux collaborateurs choisissent les zones montagneuses pour leur logement ou leurs loisirs lors de leurs missions en France. Une communication anticipée permettra d’éviter les imprévus de dernière minute et de garantir le respect des obligations de sécurité.








