
L’avocate américaine en immigration Marcelle Poirier a animé un séminaire complet au Hyatt Paris-Madeleine le 26 octobre 2025, conseillant les entrepreneurs français sur l’obtention des visas investisseur E-2 et des cartes vertes EB-5. L’intérêt a explosé après que l’euro a retrouvé la parité avec le dollar, abaissant ainsi les seuils d’investissement pour les investisseurs français.
Les intervenants ont présenté le nouvel investissement minimum de 800 000 $ pour les projets EB-5 situés dans des zones ciblées à forte création d’emplois, ainsi que les délais de traitement administratifs, actuellement en moyenne de 18 mois. Pour la voie E-2, Poirier a recommandé des budgets compris entre 150 000 € et 200 000 € pour prouver un investissement « substantiel » dans une start-up ou une franchise américaine.
La France se classe huitième au niveau mondial pour l’émission de visas E-2, mais la demande a dépassé les niveaux de 2019, les start-ups visant le marché américain après le Brexit. Parmi les participants figuraient des dirigeants de fintechs en levée de fonds de série A et des propriétaires de PME souhaitant s’installer avec leur famille. BNP Paribas et Crédit Agricole ont présenté des solutions d’entiercement et de gestion du risque de change.
Les responsables de la mobilité internationale doivent noter que les rendez-vous pour les entretiens consulaires américains à Paris s’allongent jusqu’à dix semaines. Poirier a conseillé de commencer les dossiers six mois avant la date prévue de déménagement et a averti que les services d’immigration américains examinent désormais plus rigoureusement les entreprises « gérées à distance » qu’avant la pandémie.
Les intervenants ont présenté le nouvel investissement minimum de 800 000 $ pour les projets EB-5 situés dans des zones ciblées à forte création d’emplois, ainsi que les délais de traitement administratifs, actuellement en moyenne de 18 mois. Pour la voie E-2, Poirier a recommandé des budgets compris entre 150 000 € et 200 000 € pour prouver un investissement « substantiel » dans une start-up ou une franchise américaine.
La France se classe huitième au niveau mondial pour l’émission de visas E-2, mais la demande a dépassé les niveaux de 2019, les start-ups visant le marché américain après le Brexit. Parmi les participants figuraient des dirigeants de fintechs en levée de fonds de série A et des propriétaires de PME souhaitant s’installer avec leur famille. BNP Paribas et Crédit Agricole ont présenté des solutions d’entiercement et de gestion du risque de change.
Les responsables de la mobilité internationale doivent noter que les rendez-vous pour les entretiens consulaires américains à Paris s’allongent jusqu’à dix semaines. Poirier a conseillé de commencer les dossiers six mois avant la date prévue de déménagement et a averti que les services d’immigration américains examinent désormais plus rigoureusement les entreprises « gérées à distance » qu’avant la pandémie.








