
À seulement trois jours de l’échéance, le Home Office a diffusé le 8 novembre un briefing à destination des professionnels, soulignant l’impact concret de la déclaration de modifications HC 1333, qui entre en vigueur le 11 novembre. Le mémorandum explicatif de 198 pages — publié initialement le 14 octobre — regroupe plus de 60 mises à jour réglementaires, mais de nombreux employeurs prennent seulement conscience de la date limite imminente.
Parmi les changements majeurs : (1) un niveau d’anglais renforcé (B2) exigé pour les futurs candidats Skilled Worker, Scale-up et HPI ; (2) une liste des métiers en tension réduite, supprimant 112 postes de niveau intermédiaire, dont la majorité des aides-soignants ; (3) un assouplissement des critères d’éligibilité pour les filières High Potential et Global Talent ; et (4) de nouveaux pouvoirs pour révoquer les licences de sponsor en cas de violations « graves ou répétées » du droit du travail.
Une annexe précise les dispositions transitoires. Les demandes déposées avant le 11 novembre seront traitées selon les règles actuelles, ce qui laisse aux employeurs jusqu’à 23h59 GMT le 10 novembre pour soumettre leurs formulaires électroniques et régler la taxe sur les compétences en immigration, afin de bénéficier des seuils salariaux inférieurs et du test d’anglais niveau B1. Passé ce délai, les certificats de parrainage délivrés selon les anciens critères deviendront caducs, obligeant les candidats à satisfaire aux exigences renforcées ou à demander un remboursement.
Les conseillers juridiques alertent sur les retards observés cette semaine sur le portail UKVI, qui pourraient laisser certains sponsors dans l’incertitude. Ils recommandent de prioriser les recrutements urgents, de mettre à jour les informations des responsables autorisés sur le Sponsor Management System, et de réviser les prévisions de coûts des missions pour intégrer les nouveaux seuils salariaux et la possible hausse des frais de santé liés à l’immigration prévue au printemps prochain.
Le Home Office justifie ces réformes comme indispensables pour aligner la politique migratoire sur la stratégie britannique en matière de compétences, mais les représentants des secteurs, de la tech à l’hôtellerie, dénoncent une mise en œuvre trop brutale, laissant peu de temps pour s’organiser. Pour les équipes en charge de la mobilité internationale, les actions immédiates consistent à informer les managers concernés, à auditer les recrutements en cours, et à planifier les sessions de tests d’anglais pour les promotions de janvier.
Parmi les changements majeurs : (1) un niveau d’anglais renforcé (B2) exigé pour les futurs candidats Skilled Worker, Scale-up et HPI ; (2) une liste des métiers en tension réduite, supprimant 112 postes de niveau intermédiaire, dont la majorité des aides-soignants ; (3) un assouplissement des critères d’éligibilité pour les filières High Potential et Global Talent ; et (4) de nouveaux pouvoirs pour révoquer les licences de sponsor en cas de violations « graves ou répétées » du droit du travail.
Une annexe précise les dispositions transitoires. Les demandes déposées avant le 11 novembre seront traitées selon les règles actuelles, ce qui laisse aux employeurs jusqu’à 23h59 GMT le 10 novembre pour soumettre leurs formulaires électroniques et régler la taxe sur les compétences en immigration, afin de bénéficier des seuils salariaux inférieurs et du test d’anglais niveau B1. Passé ce délai, les certificats de parrainage délivrés selon les anciens critères deviendront caducs, obligeant les candidats à satisfaire aux exigences renforcées ou à demander un remboursement.
Les conseillers juridiques alertent sur les retards observés cette semaine sur le portail UKVI, qui pourraient laisser certains sponsors dans l’incertitude. Ils recommandent de prioriser les recrutements urgents, de mettre à jour les informations des responsables autorisés sur le Sponsor Management System, et de réviser les prévisions de coûts des missions pour intégrer les nouveaux seuils salariaux et la possible hausse des frais de santé liés à l’immigration prévue au printemps prochain.
Le Home Office justifie ces réformes comme indispensables pour aligner la politique migratoire sur la stratégie britannique en matière de compétences, mais les représentants des secteurs, de la tech à l’hôtellerie, dénoncent une mise en œuvre trop brutale, laissant peu de temps pour s’organiser. Pour les équipes en charge de la mobilité internationale, les actions immédiates consistent à informer les managers concernés, à auditer les recrutements en cours, et à planifier les sessions de tests d’anglais pour les promotions de janvier.











