
Les navetteurs des provinces orientales de la Belgique vont vivre une semaine difficile : Infrabel a lancé d’importants travaux de rénovation des voies le 8 novembre, qui se poursuivront jusqu’au 16 novembre. Ce chantier concerne les lignes stratégiques Hasselt–Tongeren–Liège et Hasselt–Sint-Truiden, coupant deux axes majeurs empruntés chaque jour par des milliers de travailleurs entre le Limbourg, Bruxelles et les régions frontalières allemandes.
Pendant ces neuf jours de blocage, aucun train ne circulera dans les deux sens sur les tronçons concernés. La SNCB a mis en place des bus de substitution, mais prévient d’un allongement des temps de trajet pouvant atteindre 60 minutes et d’une capacité réduite aux heures de pointe. Les trains InterCity entre la côte belge, Bruxelles et Genk seront déviés ou écourtés, privant de nombreux Limbourgeois et travailleurs expatriés d’un accès direct à l’aéroport de Bruxelles.
Ce chantier de 28 millions d’euros remplace sept passages à niveau vétustes par des passages souterrains sécurisés pour cyclistes et piétons, crée un nouveau tunnel routier sous les voies à Sint-Lambertuslaan et renouvelle les caténaires, aiguillages et systèmes de signalisation. Les urbanistes régionaux soulignent que ces travaux sont indispensables pour absorber l’augmentation des flux transfrontaliers une fois la liaison à grande vitesse Aachen–Liège pleinement intégrée en 2027.
Pour les gestionnaires de mobilité, cette perturbation met en lumière la fragilité des sections à voie unique en dehors de l’axe principal Nord-Sud. Les entreprises des zones industrielles autour de Genk et Tongeren organisent des covoiturages et encouragent le télétravail quand c’est possible. Les résidents expatriés sont invités à prévoir au moins 45 minutes supplémentaires pour leurs trajets vers Bruxelles et à réserver leurs transferts aéroport à l’avance.
Une fois achevé, ce corridor modernisé permettra d’atteindre une vitesse de 140 km/h et d’ajouter deux trains par heure, un gain à long terme qui devrait améliorer la fiabilité tant pour les navetteurs quotidiens que pour les voyageurs d’affaires internationaux utilisant Liège-Guillemins comme hub de correspondance.
Pendant ces neuf jours de blocage, aucun train ne circulera dans les deux sens sur les tronçons concernés. La SNCB a mis en place des bus de substitution, mais prévient d’un allongement des temps de trajet pouvant atteindre 60 minutes et d’une capacité réduite aux heures de pointe. Les trains InterCity entre la côte belge, Bruxelles et Genk seront déviés ou écourtés, privant de nombreux Limbourgeois et travailleurs expatriés d’un accès direct à l’aéroport de Bruxelles.
Ce chantier de 28 millions d’euros remplace sept passages à niveau vétustes par des passages souterrains sécurisés pour cyclistes et piétons, crée un nouveau tunnel routier sous les voies à Sint-Lambertuslaan et renouvelle les caténaires, aiguillages et systèmes de signalisation. Les urbanistes régionaux soulignent que ces travaux sont indispensables pour absorber l’augmentation des flux transfrontaliers une fois la liaison à grande vitesse Aachen–Liège pleinement intégrée en 2027.
Pour les gestionnaires de mobilité, cette perturbation met en lumière la fragilité des sections à voie unique en dehors de l’axe principal Nord-Sud. Les entreprises des zones industrielles autour de Genk et Tongeren organisent des covoiturages et encouragent le télétravail quand c’est possible. Les résidents expatriés sont invités à prévoir au moins 45 minutes supplémentaires pour leurs trajets vers Bruxelles et à réserver leurs transferts aéroport à l’avance.
Une fois achevé, ce corridor modernisé permettra d’atteindre une vitesse de 140 km/h et d’ajouter deux trains par heure, un gain à long terme qui devrait améliorer la fiabilité tant pour les navetteurs quotidiens que pour les voyageurs d’affaires internationaux utilisant Liège-Guillemins comme hub de correspondance.






