
À 23h59, heure locale, le 7 novembre, le Département de la Sécurité intérieure a officiellement mis fin au statut de protection temporaire (TPS) accordé au Venezuela en 2021, supprimant ainsi les avantages d’immigration et de travail pour environ 320 000 bénéficiaires qui n’ont pas opté pour la requalification de 2023 ou un autre statut légal. Cette décision fait suite à la détermination, le 5 septembre, de la secrétaire à la Sécurité intérieure Kristi Noem, selon laquelle les conditions au Venezuela, bien qu’améliorées mais encore fragiles, ne remplissent plus les critères légaux du TPS.
Avec effet immédiat, les documents d’autorisation de travail délivrés sous la désignation 2021 ne sont plus valides, et les personnes concernées doivent quitter les États-Unis ou obtenir un autre statut. Les consignes de l’USCIS demandent aux employeurs de procéder à une nouvelle vérification du formulaire I-9 avant le premier jour ouvrable suivant l’expiration (8 novembre) ou de retirer l’employé de la paie, sauf s’il dispose d’une autre autorisation de travail.
Les associations de défense alertent que de nombreux Vénézuéliens ont des dossiers en cours pour ajustement de statut ou asile et pourraient avoir des difficultés à prouver rapidement un statut provisoire. Les grands employeurs dans la construction, la transformation alimentaire et la livraison en économie collaborative — secteurs où la main-d’œuvre vénézuélienne sous TPS est importante — risquent des pénuries soudaines si la re-vérification n’a pas été anticipée.
Il est conseillé aux entreprises de : 1) identifier les employés ayant présenté des EAD A-12 ou C-19 liés à la désignation 2021, 2) communiquer clairement les échéances et les options alternatives d’autorisation de travail (comme la requalification TPS 2023 toujours en vigueur ou les demandes basées sur la famille), et 3) documenter leur conformité de bonne foi pour limiter les risques de plaintes pour discrimination. Le non-respect de la re-vérification peut exposer les entreprises à des amendes en vertu de la loi sur la réforme et le contrôle de l’immigration.
La fin du TPS impacte également les programmes de mobilité qui utilisaient ce statut pour placer du personnel vénézuélien aux États-Unis. Les responsables mobilité doivent collaborer avec des avocats spécialisés en immigration pour envisager des transferts intracompagnies L-1 ou des adaptations au télétravail. Un recours fédéral en cours maintient la requalification 2023 en suspens, mais la situation pourrait évoluer ; les équipes RH doivent suivre de près les publications du Federal Register et les décisions judiciaires.
Avec effet immédiat, les documents d’autorisation de travail délivrés sous la désignation 2021 ne sont plus valides, et les personnes concernées doivent quitter les États-Unis ou obtenir un autre statut. Les consignes de l’USCIS demandent aux employeurs de procéder à une nouvelle vérification du formulaire I-9 avant le premier jour ouvrable suivant l’expiration (8 novembre) ou de retirer l’employé de la paie, sauf s’il dispose d’une autre autorisation de travail.
Les associations de défense alertent que de nombreux Vénézuéliens ont des dossiers en cours pour ajustement de statut ou asile et pourraient avoir des difficultés à prouver rapidement un statut provisoire. Les grands employeurs dans la construction, la transformation alimentaire et la livraison en économie collaborative — secteurs où la main-d’œuvre vénézuélienne sous TPS est importante — risquent des pénuries soudaines si la re-vérification n’a pas été anticipée.
Il est conseillé aux entreprises de : 1) identifier les employés ayant présenté des EAD A-12 ou C-19 liés à la désignation 2021, 2) communiquer clairement les échéances et les options alternatives d’autorisation de travail (comme la requalification TPS 2023 toujours en vigueur ou les demandes basées sur la famille), et 3) documenter leur conformité de bonne foi pour limiter les risques de plaintes pour discrimination. Le non-respect de la re-vérification peut exposer les entreprises à des amendes en vertu de la loi sur la réforme et le contrôle de l’immigration.
La fin du TPS impacte également les programmes de mobilité qui utilisaient ce statut pour placer du personnel vénézuélien aux États-Unis. Les responsables mobilité doivent collaborer avec des avocats spécialisés en immigration pour envisager des transferts intracompagnies L-1 ou des adaptations au télétravail. Un recours fédéral en cours maintient la requalification 2023 en suspens, mais la situation pourrait évoluer ; les équipes RH doivent suivre de près les publications du Federal Register et les décisions judiciaires.








