
Dans une nouvelle initiative visant à relancer les voyages d'affaires et le tourisme entrants, l'Administration nationale de l'immigration de Chine (NIA) a publié, le 7 novembre, un avis confirmant la prolongation de son programme unilatéral d'exemption de visa pour 44 pays jusqu'à minuit le 31 décembre 2026. Le même communiqué annonce qu'à partir du 10 novembre 2025, les détenteurs de passeports ordinaires suédois bénéficieront également d'une entrée sans visa de 30 jours pour affaires, tourisme, visites familiales, transit ou échanges culturels.
Cette prolongation consolide une politique lancée progressivement fin 2023 pour reconstruire la connectivité internationale après la pandémie et stimuler la consommation. Les pays concernés couvrent l'ensemble de l'espace Schengen européen ainsi que l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Japon, la Corée du Sud et neuf États d'Amérique latine et du Golfe. Les voyageurs remplissant les conditions peuvent entrer par n'importe quel port continental, rester jusqu'à 30 jours par visite et effectuer plusieurs séjours pendant la période de validité, sans avoir besoin de visa consulaire ni de rendez-vous au Centre de demande de visa pour la Chine (CVASC).
Pour les multinationales, cette mesure supprime un obstacle logistique majeur qui alourdissait les coûts de conformité lors des déplacements de dernière minute des cadres, ingénieurs et commerciaux. Les équipes d'approvisionnement peuvent désormais faire tourner les expatriés en Chine de manière continue ; les sièges régionaux à Singapour ou Hong Kong peuvent envoyer des talents sans délais liés aux visas ; et les organisateurs d'événements peuvent promouvoir des conférences avec des conditions d'entrée claires jusqu'en 2026.
Les offices du tourisme chinois se montrent également optimistes. Avant la COVID-19, la Suède envoyait plus de 170 000 visiteurs par an en Chine. Les acteurs du secteur anticipent une demande refoulée pour les sports d'hiver, les salons du design et les voyages d'études, qui devraient relancer des liaisons aériennes telles que Stockholm-Pékin et Göteborg-Shanghai dès l'entrée en vigueur de l'exemption de 30 jours.
Les entreprises doivent toutefois rappeler aux voyageurs que cette exemption couvre des séjours de 30 jours par entrée, ne peut être prolongée sur place, et que ceux qui participent à des activités médiatiques, religieuses ou autres activités restreintes doivent obtenir les autorisations appropriées à l'avance. Les voyageurs dépassant 30 jours ou changeant de motif devront convertir leur statut en visa adéquat auprès des bureaux d'entrée-sortie en Chine.
Dans l'ensemble, cette annonce traduit la volonté de Pékin de maintenir des frontières ouvertes et prévisibles pour au moins les 14 prochains mois, offrant aux entreprises un horizon de planification plus stable pour les missions, rotations et négociations en présentiel.
Cette prolongation consolide une politique lancée progressivement fin 2023 pour reconstruire la connectivité internationale après la pandémie et stimuler la consommation. Les pays concernés couvrent l'ensemble de l'espace Schengen européen ainsi que l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Japon, la Corée du Sud et neuf États d'Amérique latine et du Golfe. Les voyageurs remplissant les conditions peuvent entrer par n'importe quel port continental, rester jusqu'à 30 jours par visite et effectuer plusieurs séjours pendant la période de validité, sans avoir besoin de visa consulaire ni de rendez-vous au Centre de demande de visa pour la Chine (CVASC).
Pour les multinationales, cette mesure supprime un obstacle logistique majeur qui alourdissait les coûts de conformité lors des déplacements de dernière minute des cadres, ingénieurs et commerciaux. Les équipes d'approvisionnement peuvent désormais faire tourner les expatriés en Chine de manière continue ; les sièges régionaux à Singapour ou Hong Kong peuvent envoyer des talents sans délais liés aux visas ; et les organisateurs d'événements peuvent promouvoir des conférences avec des conditions d'entrée claires jusqu'en 2026.
Les offices du tourisme chinois se montrent également optimistes. Avant la COVID-19, la Suède envoyait plus de 170 000 visiteurs par an en Chine. Les acteurs du secteur anticipent une demande refoulée pour les sports d'hiver, les salons du design et les voyages d'études, qui devraient relancer des liaisons aériennes telles que Stockholm-Pékin et Göteborg-Shanghai dès l'entrée en vigueur de l'exemption de 30 jours.
Les entreprises doivent toutefois rappeler aux voyageurs que cette exemption couvre des séjours de 30 jours par entrée, ne peut être prolongée sur place, et que ceux qui participent à des activités médiatiques, religieuses ou autres activités restreintes doivent obtenir les autorisations appropriées à l'avance. Les voyageurs dépassant 30 jours ou changeant de motif devront convertir leur statut en visa adéquat auprès des bureaux d'entrée-sortie en Chine.
Dans l'ensemble, cette annonce traduit la volonté de Pékin de maintenir des frontières ouvertes et prévisibles pour au moins les 14 prochains mois, offrant aux entreprises un horizon de planification plus stable pour les missions, rotations et négociations en présentiel.










