
Le bulletin hebdomadaire de Crown World Mobility du 6 novembre 2025 confirme que Londres et Berne ont officiellement prolongé l’Accord sur la Mobilité des Prestataires de Services (SMA) pour quatre années supplémentaires, jusqu’au 31 décembre 2029. Cet accord maintient la possibilité pour les prestataires de services — avocats, consultants, spécialistes tech et créatifs — de voyager sans visa pour affaires, jusqu’à 90 jours en Suisse et jusqu’à 12 mois au Royaume-Uni (via le visa Service Supplier).
Conçu initialement comme un pont post-Brexit, le SMA a permis plus de 26 000 missions courtes en Suisse par des entreprises britanniques et généré environ 1,6 milliard de livres sterling d’échanges bilatéraux de services depuis 2021. Cette prolongation évite un coup d’arrêt brutal pour les responsables mobilité, qui redoutaient la réintroduction des tests de permis de travail dès janvier 2026.
Concrètement, les collaborateurs britanniques doivent toujours effectuer une notification en ligne avant de travailler en Suisse, et les ressortissants suisses doivent disposer d’une référence de licence de sponsor au Royaume-Uni, mais aucun test du marché du travail ni quota ne s’appliquera durant le séjour. Les assureurs de responsabilité professionnelle et les équipes de paie internationales doivent toutefois garder à l’esprit que la coordination de la sécurité sociale reste régie par des accords distincts, nécessitant parfois des certificats A1.
Alors que les négociations sur un accord de libre-échange global entre le Royaume-Uni et la Suisse avancent lentement, les spécialistes de la mobilité saluent ce répit. Les cabinets d’avocats soulignent que cette prolongation est cruciale pour maintenir leurs démarches auprès des clients dans le quartier financier de Zurich, tandis que les bureaux d’ingénierie affirment qu’elle protège les projets saisonniers de tunnels et de voies ferrées dans les Alpes. Le gouvernement britannique devrait publier des directives actualisées pour les sponsors en décembre.
Les entreprises sont invitées à revoir leurs systèmes internes d’approbation des déplacements afin de bien coder les voyages éligibles au SMA et d’éviter des demandes de permis de travail inutiles auprès des autorités cantonales.
Conçu initialement comme un pont post-Brexit, le SMA a permis plus de 26 000 missions courtes en Suisse par des entreprises britanniques et généré environ 1,6 milliard de livres sterling d’échanges bilatéraux de services depuis 2021. Cette prolongation évite un coup d’arrêt brutal pour les responsables mobilité, qui redoutaient la réintroduction des tests de permis de travail dès janvier 2026.
Concrètement, les collaborateurs britanniques doivent toujours effectuer une notification en ligne avant de travailler en Suisse, et les ressortissants suisses doivent disposer d’une référence de licence de sponsor au Royaume-Uni, mais aucun test du marché du travail ni quota ne s’appliquera durant le séjour. Les assureurs de responsabilité professionnelle et les équipes de paie internationales doivent toutefois garder à l’esprit que la coordination de la sécurité sociale reste régie par des accords distincts, nécessitant parfois des certificats A1.
Alors que les négociations sur un accord de libre-échange global entre le Royaume-Uni et la Suisse avancent lentement, les spécialistes de la mobilité saluent ce répit. Les cabinets d’avocats soulignent que cette prolongation est cruciale pour maintenir leurs démarches auprès des clients dans le quartier financier de Zurich, tandis que les bureaux d’ingénierie affirment qu’elle protège les projets saisonniers de tunnels et de voies ferrées dans les Alpes. Le gouvernement britannique devrait publier des directives actualisées pour les sponsors en décembre.
Les entreprises sont invitées à revoir leurs systèmes internes d’approbation des déplacements afin de bien coder les voyages éligibles au SMA et d’éviter des demandes de permis de travail inutiles auprès des autorités cantonales.










