
Le symposium mondial COSPAR 2025, qui s’est tenu pendant une semaine, s’est clôturé le 6 novembre par un « Festival de la science spatiale » gratuit en plein centre-ville de Nicosie, marquant la fin d’un événement ayant rassemblé 1 200 chercheurs, responsables d’agences et dirigeants du secteur aérospatial venus de 40 pays. Ce symposium — la plus grande rencontre scientifique jamais organisée à Chypre — s’est déroulé du 3 au 7 novembre à la Galerie d’État et à l’Université de Chypre, positionnant l’île comme une hôte crédible pour des conférences high-tech.
L’afflux international a culminé le 2 novembre, lorsque des autocars affrétés ont transporté les délégués de l’aéroport de Larnaca vers les hôtels de la capitale. Les organisateurs ont collaboré avec l’Autorité de l’aviation civile pour obtenir des créneaux d’atterrissage supplémentaires pour les jets d’affaires Gulfstream et Embraer affrétés, transportant des PDG venus des États-Unis et d’Israël.
Pour les professionnels de la mobilité, la leçon principale est logistique : Nicosie ne dispose pas d’un aéroport commercial propre, ce qui oblige les grands événements à s’appuyer sur des transferts de 45 minutes depuis Larnaca. Des voies réservées aux véhicules à haute occupation (HOV) sur l’autoroute A1 ont permis de maintenir les temps de trajet en dessous d’une heure, mais les urbanistes préviennent que les futurs méga-événements nécessiteront des améliorations permanentes des infrastructures.
Le festival de rue a attiré des milliers d’écoliers et d’habitants sur la place Plateia Dimarchias, où l’astronaute hongrois Gyula Cserenyi et la présidente de COSPAR, Pascale Ehrenfreund, ont animé des sessions de questions-réponses en direct. L’Organisation chypriote d’exploration spatiale (CSEO) a confirmé qu’elle négocie avec deux entreprises européennes de satellites pour ouvrir des bureaux de liaison à Nicosie — une initiative qui attirerait des talents d’ingénierie expatriés sur l’île grâce au régime accéléré de permis de travail « Catégorie G ».
Alors que Chypre cherche activement à attirer des organisations aérospatiales et de recherche, les responsables du transfert de personnel doivent surveiller les incitations telles que l’exonération de 50 % de l’impôt sur le revenu pour les hauts revenus et le visa pour nomades numériques, tous deux prolongés jusqu’en 2027 dans le dernier budget.
L’afflux international a culminé le 2 novembre, lorsque des autocars affrétés ont transporté les délégués de l’aéroport de Larnaca vers les hôtels de la capitale. Les organisateurs ont collaboré avec l’Autorité de l’aviation civile pour obtenir des créneaux d’atterrissage supplémentaires pour les jets d’affaires Gulfstream et Embraer affrétés, transportant des PDG venus des États-Unis et d’Israël.
Pour les professionnels de la mobilité, la leçon principale est logistique : Nicosie ne dispose pas d’un aéroport commercial propre, ce qui oblige les grands événements à s’appuyer sur des transferts de 45 minutes depuis Larnaca. Des voies réservées aux véhicules à haute occupation (HOV) sur l’autoroute A1 ont permis de maintenir les temps de trajet en dessous d’une heure, mais les urbanistes préviennent que les futurs méga-événements nécessiteront des améliorations permanentes des infrastructures.
Le festival de rue a attiré des milliers d’écoliers et d’habitants sur la place Plateia Dimarchias, où l’astronaute hongrois Gyula Cserenyi et la présidente de COSPAR, Pascale Ehrenfreund, ont animé des sessions de questions-réponses en direct. L’Organisation chypriote d’exploration spatiale (CSEO) a confirmé qu’elle négocie avec deux entreprises européennes de satellites pour ouvrir des bureaux de liaison à Nicosie — une initiative qui attirerait des talents d’ingénierie expatriés sur l’île grâce au régime accéléré de permis de travail « Catégorie G ».
Alors que Chypre cherche activement à attirer des organisations aérospatiales et de recherche, les responsables du transfert de personnel doivent surveiller les incitations telles que l’exonération de 50 % de l’impôt sur le revenu pour les hauts revenus et le visa pour nomades numériques, tous deux prolongés jusqu’en 2027 dans le dernier budget.









