
Six des dix nouvelles mesures de l’Administration nationale de l’immigration sont entrées en vigueur le 5 novembre 2025, marquant l’une des réformes les plus larges du régime chinois d’entrée et de sortie depuis 2018. La mesure phare est l’élargissement de la politique de « reconnaissance des talents » — auparavant limitée à Pékin, Shanghai et la région de la Grande Baie — à l’ensemble du delta du Yangtsé, au cluster Pékin-Tianjin-Hebei ainsi qu’à toutes les zones pilotes de libre-échange. Les professionnels qualifiés peuvent désormais obtenir des permis à entrées multiples valables jusqu’à cinq ans pour voyager vers et depuis Hong Kong ou Macao, avec des séjours individuels pouvant aller jusqu’à 30 jours.
Ce dispositif officialise également l’extension des transits de 24 et 240 heures, introduit les cartes d’arrivée en ligne et simplifie la gestion des documents pour les résidents du continent se rendant à Taïwan. Ensemble, ces mesures visent à créer des « dividendes institutionnels » soutenant l’agenda chinois de développement de haute qualité, selon le communiqué de l’Administration nationale de l’immigration.
Les gouvernements régionaux réagissent déjà. Le Bureau des ressources humaines du Jiangsu a ouvert un guichet accéléré pour les demandes de reconnaissance, garantissant un traitement en cinq jours, tandis que le port de libre-échange de Hainan adapte cette politique à ses programmes de visas pour attirer les chercheurs en biomédecine.
Pour les employeurs multinationaux, l’élargissement du nombre de villes éligibles signifie que les cadres basés à Suzhou, Nankin ou Tianjin peuvent désormais effectuer des déplacements ponctuels à Hong Kong pour des réunions clients sans attendre de visa à entrée unique. Les responsables mobilité doivent mettre à jour les lettres de mission et envisager d’exploiter la validité de cinq ans pour réduire les coûts récurrents de visa.
Ce dispositif officialise également l’extension des transits de 24 et 240 heures, introduit les cartes d’arrivée en ligne et simplifie la gestion des documents pour les résidents du continent se rendant à Taïwan. Ensemble, ces mesures visent à créer des « dividendes institutionnels » soutenant l’agenda chinois de développement de haute qualité, selon le communiqué de l’Administration nationale de l’immigration.
Les gouvernements régionaux réagissent déjà. Le Bureau des ressources humaines du Jiangsu a ouvert un guichet accéléré pour les demandes de reconnaissance, garantissant un traitement en cinq jours, tandis que le port de libre-échange de Hainan adapte cette politique à ses programmes de visas pour attirer les chercheurs en biomédecine.
Pour les employeurs multinationaux, l’élargissement du nombre de villes éligibles signifie que les cadres basés à Suzhou, Nankin ou Tianjin peuvent désormais effectuer des déplacements ponctuels à Hong Kong pour des réunions clients sans attendre de visa à entrée unique. Les responsables mobilité doivent mettre à jour les lettres de mission et envisager d’exploiter la validité de cinq ans pour réduire les coûts récurrents de visa.











