
Le Conseil fédéral suisse a profité de sa séance du 5 novembre 2025 pour approuver le message relatif à un nouvel accord de double imposition (ADI) avec le Zimbabwe, ouvrant ainsi la voie à sa ratification parlementaire l’année prochaine. Cet accord remplace la convention de 2001, désormais obsolète au regard des normes post-BEPS de l’OCDE et de la politique suisse de 2019 contre les abus de traité.
Selon ce nouveau traité, le prélèvement à la source sur les dividendes transfrontaliers passera de 15 % à 5 % pour les participations d’au moins 10 %, et sera nul pour les fonds de pension ainsi que pour les deux gouvernements. Les retenues à la source sur les intérêts et les redevances seront plafonnées à 5 %. L’accord inclut également un article sur l’assistance à la collecte des créances fiscales et une clause complète d’échange d’informations conforme à l’article 26 du Modèle OCDE.
Pour les responsables de la mobilité internationale, ces plafonds modernisés réduisent les coûts de majoration pour les entreprises suisses détachant du personnel au Zimbabwe, et inversement. Les équipes paie n’auront plus à avancer des montants élevés de retenue à la source ni à gérer des remboursements longs, améliorant ainsi la trésorerie pour les missions de courte durée. La procédure de règlement amiable est étendue à trois ans au lieu de deux, offrant plus de temps aux expatriés pour résoudre les litiges liés à leur résidence fiscale.
Les fournisseurs suisses soumissionnant à des projets d’infrastructure à Harare estiment que ce traité rendra la tarification des offres plus prévisible. « Pouvoir appliquer un taux de 5 % sur les dividendes au lieu de 15 % sur les bénéfices rapatriés améliore immédiatement notre taux de rentabilité interne », a souligné le directeur financier d’une entreprise d’ingénierie basée à Zurich, qui compte 40 collaborateurs en rotation au Zimbabwe.
Le message doit encore être adopté par les deux chambres de l’Assemblée fédérale. Si aucun référendum n’est lancé — ce qui est peu probable — l’ADI pourrait entrer en vigueur le 1er janvier 2027, s’appliquant aux salaires versés à partir de cette date. Les équipes mobilité sont invitées à revoir leurs modèles de projection des coûts et à mettre à jour leurs politiques d’affectation en conséquence.
Selon ce nouveau traité, le prélèvement à la source sur les dividendes transfrontaliers passera de 15 % à 5 % pour les participations d’au moins 10 %, et sera nul pour les fonds de pension ainsi que pour les deux gouvernements. Les retenues à la source sur les intérêts et les redevances seront plafonnées à 5 %. L’accord inclut également un article sur l’assistance à la collecte des créances fiscales et une clause complète d’échange d’informations conforme à l’article 26 du Modèle OCDE.
Pour les responsables de la mobilité internationale, ces plafonds modernisés réduisent les coûts de majoration pour les entreprises suisses détachant du personnel au Zimbabwe, et inversement. Les équipes paie n’auront plus à avancer des montants élevés de retenue à la source ni à gérer des remboursements longs, améliorant ainsi la trésorerie pour les missions de courte durée. La procédure de règlement amiable est étendue à trois ans au lieu de deux, offrant plus de temps aux expatriés pour résoudre les litiges liés à leur résidence fiscale.
Les fournisseurs suisses soumissionnant à des projets d’infrastructure à Harare estiment que ce traité rendra la tarification des offres plus prévisible. « Pouvoir appliquer un taux de 5 % sur les dividendes au lieu de 15 % sur les bénéfices rapatriés améliore immédiatement notre taux de rentabilité interne », a souligné le directeur financier d’une entreprise d’ingénierie basée à Zurich, qui compte 40 collaborateurs en rotation au Zimbabwe.
Le message doit encore être adopté par les deux chambres de l’Assemblée fédérale. Si aucun référendum n’est lancé — ce qui est peu probable — l’ADI pourrait entrer en vigueur le 1er janvier 2027, s’appliquant aux salaires versés à partir de cette date. Les équipes mobilité sont invitées à revoir leurs modèles de projection des coûts et à mettre à jour leurs politiques d’affectation en conséquence.







