
Lors de sa session du 5 novembre 2025, le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) a informé le Conseil fédéral que la Suisse contribuera à hauteur de 20 millions de CHF et enverra des équipes spécialisées en droit international humanitaire, déminage et logistique pour soutenir le plan de paix négocié par les États-Unis pour Gaza. Cette annonce a des répercussions immédiates sur la mobilité et les obligations de diligence pour les ONG, les prestataires et les médias envoyant du personnel en Israël ou dans les territoires palestiniens.
Le déploiement sera géré par la liste de mobilisation rapide de l’Aide humanitaire suisse, qui a déjà identifié 40 professionnels prêts à partir sous 72 heures. Si le DFAE a souligné que les déplacements seront coordonnés avec le Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l’ONU (OCHA) et suivront les protocoles de sécurité en vigueur, les employeurs sont invités à mettre à jour leurs évaluations des risques liés aux déplacements, à vérifier la couverture d’assurance pour les zones de guerre et à inscrire leur personnel sur l’application gouvernementale « Travel Admin ».
Les entreprises suisses implantées dans la région ont salué ce signal politique plus clair. Une société pharmaceutique disposant de sites d’essais cliniques à Tel Aviv a déclaré que cette présence humanitaire renforcée « devrait permettre des corridors d’accès plus prévisibles pour les marchandises et le personnel ». Néanmoins, les consultants en sécurité des déplacements classent toujours Gaza et certaines parties du sud d’Israël au « Niveau 4 – Reconsidérer le voyage », ce qui signifie que les déplacements d’affaires nécessitent une approbation de la direction et une formation aux environnements hostiles.
Du point de vue de la conformité, le DFAE a rappelé que les licences suisses d’exportation pour les biens à double usage restent suspendues pour Gaza. Les entreprises qui déplacent des experts techniques doivent s’assurer qu’ils ne transportent pas d’équipements interdits. Les avocats spécialisés en immigration notent également que les autorités frontalières israéliennes posent désormais des questions plus détaillées sur les justificatifs humanitaires ou médiatiques des voyageurs ; les détenteurs de passeports suisses sont conseillés de se munir de lettres d’invitation et de preuves de voyage ultérieur.
Les responsables de la mobilité internationale doivent suivre les mises à jour du DFAE et du Réseau intégré d’analyse des risques aux frontières Schengen (IBRAN) et être prêts à adapter leurs plans d’évacuation. Les employeurs recourant à la Loi suisse sur la coopération internationale pour détacher du personnel peuvent demander des allègements fiscaux sur les indemnités de sujétion et les primes de danger prévues par leurs politiques internes.
Le déploiement sera géré par la liste de mobilisation rapide de l’Aide humanitaire suisse, qui a déjà identifié 40 professionnels prêts à partir sous 72 heures. Si le DFAE a souligné que les déplacements seront coordonnés avec le Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l’ONU (OCHA) et suivront les protocoles de sécurité en vigueur, les employeurs sont invités à mettre à jour leurs évaluations des risques liés aux déplacements, à vérifier la couverture d’assurance pour les zones de guerre et à inscrire leur personnel sur l’application gouvernementale « Travel Admin ».
Les entreprises suisses implantées dans la région ont salué ce signal politique plus clair. Une société pharmaceutique disposant de sites d’essais cliniques à Tel Aviv a déclaré que cette présence humanitaire renforcée « devrait permettre des corridors d’accès plus prévisibles pour les marchandises et le personnel ». Néanmoins, les consultants en sécurité des déplacements classent toujours Gaza et certaines parties du sud d’Israël au « Niveau 4 – Reconsidérer le voyage », ce qui signifie que les déplacements d’affaires nécessitent une approbation de la direction et une formation aux environnements hostiles.
Du point de vue de la conformité, le DFAE a rappelé que les licences suisses d’exportation pour les biens à double usage restent suspendues pour Gaza. Les entreprises qui déplacent des experts techniques doivent s’assurer qu’ils ne transportent pas d’équipements interdits. Les avocats spécialisés en immigration notent également que les autorités frontalières israéliennes posent désormais des questions plus détaillées sur les justificatifs humanitaires ou médiatiques des voyageurs ; les détenteurs de passeports suisses sont conseillés de se munir de lettres d’invitation et de preuves de voyage ultérieur.
Les responsables de la mobilité internationale doivent suivre les mises à jour du DFAE et du Réseau intégré d’analyse des risques aux frontières Schengen (IBRAN) et être prêts à adapter leurs plans d’évacuation. Les employeurs recourant à la Loi suisse sur la coopération internationale pour détacher du personnel peuvent demander des allègements fiscaux sur les indemnités de sujétion et les primes de danger prévues par leurs politiques internes.






