
Le 4 novembre, l’organisation professionnelle des transports Confartigianato Verona a relayé un avis de Roadpol confirmant qu’entre le 17 et le 23 novembre, toutes les forces de police routière européennes mèneront une opération coordonnée « Camions & Bus ». En Italie, les unités de la Stradale déploieront des équipes mobiles le long des principaux corridors logistiques, tels que les axes du Brenner et de Vintimille, ainsi que sur les accès clés aux ports.
Les contrôles viseront la manipulation des tachygraphes, les surcharges, le respect des règles ADR sur les marchandises dangereuses et les temps de repos des conducteurs. Les opérateurs non conformes s’exposent à des amendes immédiates pouvant atteindre 1 732 €, à l’immobilisation des véhicules et, en cas de violation des règles de cabotage, à une expulsion du territoire italien pouvant aller jusqu’à trois mois.
Cette opération intervient en pleine saison de pointe du commerce en ligne, qui met les capacités à rude épreuve ; le syndicat ANITA indique que les transporteurs internationaux affichent déjà un taux d’occupation des remorques de 94 %. Pour les entreprises gérant des chaînes d’approvisionnement sensibles au facteur temps, le conseil est clair : prévoir des jours tampons et s’assurer que les conducteurs disposent de tous les documents nécessaires, y compris les attestations relatives aux déclarations de travailleurs détachés introduites en juillet dernier.
Les exploitants d’autocars transportant des groupes d’entreprise ou des familles expatriées doivent noter que des contrôles aléatoires des listes de passagers sont également prévus — toute anomalie pouvant entraîner des retards. Les équipes de mobilité organisant des déménagements internationaux doivent informer les transporteurs de cette campagne et vérifier que l’assurance transit reste valide en cas d’attente prolongée.
Bien que l’opération soit européenne, l’Italie est souvent plus sévère en matière de sanctions : lors de l’édition de février 2025, 21 % des infractions enregistrées dans l’UE l’ont été sur les routes italiennes. Le ministère de l’Intérieur indique que les résultats de cette campagne alimenteront une proposition législative visant à durcir les sanctions en cas de récidive.
Les contrôles viseront la manipulation des tachygraphes, les surcharges, le respect des règles ADR sur les marchandises dangereuses et les temps de repos des conducteurs. Les opérateurs non conformes s’exposent à des amendes immédiates pouvant atteindre 1 732 €, à l’immobilisation des véhicules et, en cas de violation des règles de cabotage, à une expulsion du territoire italien pouvant aller jusqu’à trois mois.
Cette opération intervient en pleine saison de pointe du commerce en ligne, qui met les capacités à rude épreuve ; le syndicat ANITA indique que les transporteurs internationaux affichent déjà un taux d’occupation des remorques de 94 %. Pour les entreprises gérant des chaînes d’approvisionnement sensibles au facteur temps, le conseil est clair : prévoir des jours tampons et s’assurer que les conducteurs disposent de tous les documents nécessaires, y compris les attestations relatives aux déclarations de travailleurs détachés introduites en juillet dernier.
Les exploitants d’autocars transportant des groupes d’entreprise ou des familles expatriées doivent noter que des contrôles aléatoires des listes de passagers sont également prévus — toute anomalie pouvant entraîner des retards. Les équipes de mobilité organisant des déménagements internationaux doivent informer les transporteurs de cette campagne et vérifier que l’assurance transit reste valide en cas d’attente prolongée.
Bien que l’opération soit européenne, l’Italie est souvent plus sévère en matière de sanctions : lors de l’édition de février 2025, 21 % des infractions enregistrées dans l’UE l’ont été sur les routes italiennes. Le ministère de l’Intérieur indique que les résultats de cette campagne alimenteront une proposition législative visant à durcir les sanctions en cas de récidive.









