
Pour la deuxième fois en 24 heures, Air India a dû gérer une urgence en vol. Le vol AI2487, un Airbus A321 opérant sur la ligne très fréquentée Delhi–Bengaluru, a effectué une diversion de précaution le matin du 4 novembre après que les indicateurs du cockpit ont signalé un possible dysfonctionnement des systèmes. L’appareil a atterri en toute sécurité à l’aéroport international Raja Bhoj de Bhopal à 11h05, où les ingénieurs ont immédiatement entamé des vérifications approfondies.
Les passagers ont été débarqués, se sont vus offrir des bons repas et une réaffectation sur des vols ultérieurs. Aucun blessé n’a été signalé, mais cet incident vient s’ajouter à la pression croissante sur la fiabilité de la flotte d’Air India, survenue un jour après une diversion à San Francisco. La compagnie a déclaré qu’elle « apporte une assistance immédiate » et organisera le voyage de continuation « dans les plus brefs délais », sans toutefois préciser l’heure de départ estimée de l’appareil réparé.
Pour les responsables de la mobilité d’entreprise, cet épisode souligne l’importance de disposer d’itinéraires alternatifs entre les deux plus grands pôles technologiques de l’Inde. Les concurrents IndiGo et Vistara assurent plus d’une douzaine de fréquences quotidiennes sur ce secteur ; les services voyages pourraient devoir accorder des dérogations aux politiques imposant des transporteurs préférentiels en cas de perturbations liées à la sécurité.
Les analystes de l’aviation civile rappellent que les diversions d’appareils monocouloirs sont moins coûteuses que celles impliquant des gros-porteurs, mais peuvent néanmoins provoquer des effets en cascade dans le réseau, entraînant des dépassements des temps de travail des équipages et des retards en chaîne. Les autorités de régulation ont demandé à Air India de soumettre un rapport préliminaire sur l’incident dans un délai de 72 heures.
Les passagers ont été débarqués, se sont vus offrir des bons repas et une réaffectation sur des vols ultérieurs. Aucun blessé n’a été signalé, mais cet incident vient s’ajouter à la pression croissante sur la fiabilité de la flotte d’Air India, survenue un jour après une diversion à San Francisco. La compagnie a déclaré qu’elle « apporte une assistance immédiate » et organisera le voyage de continuation « dans les plus brefs délais », sans toutefois préciser l’heure de départ estimée de l’appareil réparé.
Pour les responsables de la mobilité d’entreprise, cet épisode souligne l’importance de disposer d’itinéraires alternatifs entre les deux plus grands pôles technologiques de l’Inde. Les concurrents IndiGo et Vistara assurent plus d’une douzaine de fréquences quotidiennes sur ce secteur ; les services voyages pourraient devoir accorder des dérogations aux politiques imposant des transporteurs préférentiels en cas de perturbations liées à la sécurité.
Les analystes de l’aviation civile rappellent que les diversions d’appareils monocouloirs sont moins coûteuses que celles impliquant des gros-porteurs, mais peuvent néanmoins provoquer des effets en cascade dans le réseau, entraînant des dépassements des temps de travail des équipages et des retards en chaîne. Les autorités de régulation ont demandé à Air India de soumettre un rapport préliminaire sur l’incident dans un délai de 72 heures.









