
Après un gel d’un mois provoqué par la fermeture partielle du gouvernement fédéral, le Département du Travail des États-Unis (DOL) a annoncé tard le 3 novembre que ses portails en ligne FLAG et PERM étaient de nouveau opérationnels et acceptaient les soumissions. Cette interruption avait empêché les employeurs de déposer les demandes de conditions de travail (LCA) nécessaires pour les pétitions H-1B, E-3 et H-1B1, ainsi que les demandes de salaire prédominant et les certifications PERM pour les cartes vertes.
Des milliers d’entreprises — notamment des hôpitaux cherchant à intégrer des médecins étrangers et des entreprises technologiques avec des dates de début en fin d’année — ont dû reporter les dates d’embauche, réorganiser le personnel des projets et, dans certains cas, verser un salaire de réserve à des nouveaux employés incapables d’obtenir leur statut sans LCA certifiées. Les avocats spécialisés en immigration ont alerté que ces interruptions prolongées risquaient de faire dépasser la période de grâce de 60 jours pour les changements d’employeur H-1B et de compromettre les recrutements PERM sensibles au facteur temps.
Avec la reprise du traitement, le DOL indique qu’il donnera la priorité aux dossiers soumis pendant la fermeture, sans toutefois garantir un examen accéléré. Les employeurs sont invités à déposer immédiatement les LCA en retard et à s’attendre à un retard dû à un afflux de dossiers, pouvant ajouter une à deux semaines aux délais habituels.
Pour les responsables mobilité, cette reprise signifie que les transferts et prolongations H-1B en attente peuvent désormais avancer. Les entreprises doivent cependant revoir leurs calendriers d’intégration et leurs engagements clients, compte tenu de la vitesse de traitement encore incertaine, et envisager des options de traitement premium une fois les pétitions soumises à l’USCIS.
Les groupes professionnels pressent le Congrès d’exempter les opérations d’immigration financées par les frais des futures fermetures gouvernementales, arguant que les perturbations dans la mobilité des travailleurs qualifiés entraînent des coûts disproportionnés pour la compétitivité des États-Unis.
Des milliers d’entreprises — notamment des hôpitaux cherchant à intégrer des médecins étrangers et des entreprises technologiques avec des dates de début en fin d’année — ont dû reporter les dates d’embauche, réorganiser le personnel des projets et, dans certains cas, verser un salaire de réserve à des nouveaux employés incapables d’obtenir leur statut sans LCA certifiées. Les avocats spécialisés en immigration ont alerté que ces interruptions prolongées risquaient de faire dépasser la période de grâce de 60 jours pour les changements d’employeur H-1B et de compromettre les recrutements PERM sensibles au facteur temps.
Avec la reprise du traitement, le DOL indique qu’il donnera la priorité aux dossiers soumis pendant la fermeture, sans toutefois garantir un examen accéléré. Les employeurs sont invités à déposer immédiatement les LCA en retard et à s’attendre à un retard dû à un afflux de dossiers, pouvant ajouter une à deux semaines aux délais habituels.
Pour les responsables mobilité, cette reprise signifie que les transferts et prolongations H-1B en attente peuvent désormais avancer. Les entreprises doivent cependant revoir leurs calendriers d’intégration et leurs engagements clients, compte tenu de la vitesse de traitement encore incertaine, et envisager des options de traitement premium une fois les pétitions soumises à l’USCIS.
Les groupes professionnels pressent le Congrès d’exempter les opérations d’immigration financées par les frais des futures fermetures gouvernementales, arguant que les perturbations dans la mobilité des travailleurs qualifiés entraînent des coûts disproportionnés pour la compétitivité des États-Unis.











