
Les autorités irlandaises chargées de l’immigration ont mené, dans la nuit du 3 novembre 2025, leur opération d’éloignement la plus importante en une seule journée depuis plus de 20 ans. Un Airbus A320 affrété a décollé de l’aéroport de Dublin à 21h30, transportant 45 adultes et 7 enfants dont les demandes de protection internationale ou de résidence avaient été refusées. L’avion a atterri à Tbilissi à 2h30 (heure irlandaise) le 4 novembre.
Ce vol spécial a été organisé par le Garda National Immigration Bureau (GNIB) d’An Garda Síochána, en collaboration avec le ministère de la Justice. Du personnel médical, un interprète et un observateur indépendant des droits humains accompagnaient les personnes renvoyées, conformément aux meilleures pratiques de l’UE. Le ministre de la Justice, Jim O’Callaghan, a déclaré que cette opération « témoigne de notre détermination à préserver l’intégrité du système migratoire tout en garantissant des procédures équitables pour ceux qui ont besoin de protection ».
En 2025, six vols affrétés ont déjà permis le renvoi de 205 personnes, tandis que 146 autres ont été placées sur des vols commerciaux. Avec 1 348 départs volontaires enregistrés cette année, les éloignements forcés laissent présager que 2025 enregistrera le plus grand nombre de départs d’Irlande après des décisions d’asile négatives depuis 2003. Plus de 3 870 arrêtés d’expulsion ont été signés à ce jour.
L’ampleur de ce vol reflète la pression politique croissante sur le gouvernement pour accélérer à la fois les décisions en première instance et les retours. Le délai moyen de traitement des nouvelles demandes d’asile est désormais de huit mois, mais le nombre de demandeurs dépasse toujours la capacité d’hébergement, avec environ 50 arrivées quotidiennes. Les autorités estiment qu’une application visible de la loi dissuade les demandes infondées et libère des ressources pour ceux qui ont réellement besoin de protection.
Pour les employeurs, l’impact immédiat reste limité, aucun des renvoyés ne disposant d’un permis de travail. Néanmoins, les entreprises doivent prendre en compte le renforcement du contrôle gouvernemental : les personnes en situation irrégulière et les employés dont l’autorisation de séjour a expiré risquent davantage d’être contrôlés en 2026. Les responsables de la mobilité sont invités à vérifier les documents relatifs au droit de travail et à s’assurer que tout salarié en attente de renouvellement utilise le portail en ligne de l’ISD et possède une preuve numérique de prolongation lors de ses déplacements.
Ce vol spécial a été organisé par le Garda National Immigration Bureau (GNIB) d’An Garda Síochána, en collaboration avec le ministère de la Justice. Du personnel médical, un interprète et un observateur indépendant des droits humains accompagnaient les personnes renvoyées, conformément aux meilleures pratiques de l’UE. Le ministre de la Justice, Jim O’Callaghan, a déclaré que cette opération « témoigne de notre détermination à préserver l’intégrité du système migratoire tout en garantissant des procédures équitables pour ceux qui ont besoin de protection ».
En 2025, six vols affrétés ont déjà permis le renvoi de 205 personnes, tandis que 146 autres ont été placées sur des vols commerciaux. Avec 1 348 départs volontaires enregistrés cette année, les éloignements forcés laissent présager que 2025 enregistrera le plus grand nombre de départs d’Irlande après des décisions d’asile négatives depuis 2003. Plus de 3 870 arrêtés d’expulsion ont été signés à ce jour.
L’ampleur de ce vol reflète la pression politique croissante sur le gouvernement pour accélérer à la fois les décisions en première instance et les retours. Le délai moyen de traitement des nouvelles demandes d’asile est désormais de huit mois, mais le nombre de demandeurs dépasse toujours la capacité d’hébergement, avec environ 50 arrivées quotidiennes. Les autorités estiment qu’une application visible de la loi dissuade les demandes infondées et libère des ressources pour ceux qui ont réellement besoin de protection.
Pour les employeurs, l’impact immédiat reste limité, aucun des renvoyés ne disposant d’un permis de travail. Néanmoins, les entreprises doivent prendre en compte le renforcement du contrôle gouvernemental : les personnes en situation irrégulière et les employés dont l’autorisation de séjour a expiré risquent davantage d’être contrôlés en 2026. Les responsables de la mobilité sont invités à vérifier les documents relatifs au droit de travail et à s’assurer que tout salarié en attente de renouvellement utilise le portail en ligne de l’ISD et possède une preuve numérique de prolongation lors de ses déplacements.











