
De nouvelles statistiques publiées le 3 novembre 2025 révèlent que l’aéroport de Zurich a enregistré 24 479 décollages et atterrissages en octobre, soit une hausse de 6,6 % par rapport au même mois de l’année précédente et de 3,6 % par rapport à octobre 2019, dernier mois comparable avant la pandémie de COVID-19. Ces chiffres, compilés par l’agence de presse AWP et relayés par Nau.ch et Blick, confirment que le principal hub suisse a non seulement retrouvé son niveau d’activité d’avant crise, mais l’a même dépassé.
Cette reprise est portée par une demande soutenue des entreprises dans les secteurs pharmaceutique, financier et de la fabrication avancée, qui dépendent de vols courts en Europe et de liaisons long-courriers vers les États-Unis et l’Asie. Le trafic de loisirs, notamment pendant les vacances scolaires d’automne en Suisse, a également contribué à remplir les avions. Toutefois, les analystes soulignent que les taux de remplissage restent équilibrés, signe que les compagnies aériennes gèrent prudemment leur capacité sans saturer le marché.
Pour les gestionnaires de mobilité, cette hausse se traduit par une meilleure disponibilité des vols, mais aussi par un retour des congestions en haute saison. Les autorités frontalières s’activent pour installer les bornes du nouveau système d’entrée/sortie (EES) de l’UE avant le 17 novembre ; des files d’attente plus longues sont attendues pour les ressortissants de pays tiers durant cette période de transition. Les entreprises sont invitées à prévoir des marges de temps supplémentaires pour leurs collaborateurs en déplacement et à rappeler aux voyageurs de se munir de passeports biométriques.
Le cours de l’action Zurich Airport AG a progressé de 1,3 % à la Bourse suisse SIX après la publication de ces données, traduisant la confiance des investisseurs dans la croissance du trafic passagers, qui devrait soutenir les revenus commerciaux et les projets d’extension des infrastructures, comme la rénovation du Dock A.
À l’avenir, l’aéroport publiera des données détaillées sur le trafic passagers le 12 novembre et dévoilera ses prochaines prévisions de trafic début 2026. Les décideurs politiques considèrent ces chiffres comme un indicateur clé de l’économie suisse à l’export, qui dépend de l’efficacité des liaisons aériennes pour les personnes et les marchandises de grande valeur.
Cette reprise est portée par une demande soutenue des entreprises dans les secteurs pharmaceutique, financier et de la fabrication avancée, qui dépendent de vols courts en Europe et de liaisons long-courriers vers les États-Unis et l’Asie. Le trafic de loisirs, notamment pendant les vacances scolaires d’automne en Suisse, a également contribué à remplir les avions. Toutefois, les analystes soulignent que les taux de remplissage restent équilibrés, signe que les compagnies aériennes gèrent prudemment leur capacité sans saturer le marché.
Pour les gestionnaires de mobilité, cette hausse se traduit par une meilleure disponibilité des vols, mais aussi par un retour des congestions en haute saison. Les autorités frontalières s’activent pour installer les bornes du nouveau système d’entrée/sortie (EES) de l’UE avant le 17 novembre ; des files d’attente plus longues sont attendues pour les ressortissants de pays tiers durant cette période de transition. Les entreprises sont invitées à prévoir des marges de temps supplémentaires pour leurs collaborateurs en déplacement et à rappeler aux voyageurs de se munir de passeports biométriques.
Le cours de l’action Zurich Airport AG a progressé de 1,3 % à la Bourse suisse SIX après la publication de ces données, traduisant la confiance des investisseurs dans la croissance du trafic passagers, qui devrait soutenir les revenus commerciaux et les projets d’extension des infrastructures, comme la rénovation du Dock A.
À l’avenir, l’aéroport publiera des données détaillées sur le trafic passagers le 12 novembre et dévoilera ses prochaines prévisions de trafic début 2026. Les décideurs politiques considèrent ces chiffres comme un indicateur clé de l’économie suisse à l’export, qui dépend de l’efficacité des liaisons aériennes pour les personnes et les marchandises de grande valeur.











