
Les services des douanes et de la protection des frontières des États-Unis (CBP) ont enregistré seulement 34 146 rencontres avec des ressortissants indiens au cours de l’exercice fiscal 2025, soit une chute spectaculaire de 62 % par rapport à 2024, atteignant ainsi le niveau le plus bas depuis cinq ans. Les analystes attribuent ce retournement à la politique de dissuasion ferme mise en place sous l’administration Trump : vols de déportation affrétés, expulsions rapides sous le Titre 8, et recours médiatisé à des avions militaires pour renvoyer les migrants.
Les changements de politique en janvier — notamment la reprise des rapatriements sur le territoire et le renforcement des patrouilles aux frontières mexicaine et canadienne — ont modifié le calcul des risques pour les migrants potentiels et les réseaux de passeurs opérant via la route dite « Dunki » en Amérique latine. Depuis janvier, environ 1 700 Indiens ont été expulsés, dont 333 lors de trois vols militaires vers Amritsar.
Pour les responsables de la mobilité internationale, ces données soulignent un contexte plus strict concernant les dépassements de séjour et les demandes d’asile. Les entreprises indiennes implantées aux États-Unis doivent renforcer la communication sur la conformité auprès de leurs employés et ayants droit, en insistant sur le respect des règles liées aux visas de visiteur d’affaires et de travail, afin d’éviter des violations de statut involontaires qui pourraient désormais entraîner une expulsion accélérée.
Les observateurs notent également que les perturbations des cartels, l’augmentation des contrôles mexicains et les vidéos sur les réseaux sociaux montrant des raids spectaculaires sur des lieux de travail ont contribué à décourager les voyages irréguliers. Ce recul illustre à quel point une politique de contrôle rigoureuse peut rapidement modifier les flux migratoires, offrant une étude de cas en temps réel sur la dissuasion face à la demande.
Les changements de politique en janvier — notamment la reprise des rapatriements sur le territoire et le renforcement des patrouilles aux frontières mexicaine et canadienne — ont modifié le calcul des risques pour les migrants potentiels et les réseaux de passeurs opérant via la route dite « Dunki » en Amérique latine. Depuis janvier, environ 1 700 Indiens ont été expulsés, dont 333 lors de trois vols militaires vers Amritsar.
Pour les responsables de la mobilité internationale, ces données soulignent un contexte plus strict concernant les dépassements de séjour et les demandes d’asile. Les entreprises indiennes implantées aux États-Unis doivent renforcer la communication sur la conformité auprès de leurs employés et ayants droit, en insistant sur le respect des règles liées aux visas de visiteur d’affaires et de travail, afin d’éviter des violations de statut involontaires qui pourraient désormais entraîner une expulsion accélérée.
Les observateurs notent également que les perturbations des cartels, l’augmentation des contrôles mexicains et les vidéos sur les réseaux sociaux montrant des raids spectaculaires sur des lieux de travail ont contribué à décourager les voyages irréguliers. Ce recul illustre à quel point une politique de contrôle rigoureuse peut rapidement modifier les flux migratoires, offrant une étude de cas en temps réel sur la dissuasion face à la demande.









