
De nouvelles données compilées par plusieurs agences éducatives et gouvernements étrangers révèlent qu’en 2025, plus de 700 000 étudiants indiens sont inscrits au Canada, au Royaume-Uni, en Australie et en Allemagne — soit plus du double par rapport à il y a dix ans. Selon The Indian Express, qui cite les statistiques du CBIE, du Home Office britannique, du ministère australien de l’Éducation et du DAAD, le Canada reste la destination la plus prisée avec 427 000 étudiants indiens, tandis que l’Allemagne a dépassé la Chine en tant que principal marché non européen.
Cette hausse intervient alors que le Canada resserre les quotas de permis de travail et que le Royaume-Uni supprime progressivement les visas pour les accompagnants des étudiants en master enseigné. Les consultants en éducation expliquent cette résilience par la couverture contre les fluctuations monétaires, la diversification des bourses d’études et une prospection universitaire agressive dans les villes de niveau 2 en Inde.
Pour les multinationales, cette tendance signifie un vivier de talents plus large et internationalisé, mais aussi une concurrence accrue pour les visas de travail post-études. Les employeurs qui prévoient des programmes pour diplômés internationaux doivent noter que l’Australie offre désormais jusqu’à quatre ans de droits de travail post-études dans les filières STEM prioritaires, tandis que l’Allemagne accélère la délivrance de la Carte Bleue aux diplômés étrangers de ses universités. Les équipes RH pourraient cibler les stages dès le début pour sécuriser les meilleurs profils de retour.
Les autorités indiennes perçoivent cet essor des départs comme un signal pour accélérer les partenariats internationaux entre campus et le cadre prévu des « Universités Internationales d’Inde », qui pourrait à terme rapatrier une partie des 28 milliards de dollars US estimés de sortie annuelle de capitaux.
Cette hausse intervient alors que le Canada resserre les quotas de permis de travail et que le Royaume-Uni supprime progressivement les visas pour les accompagnants des étudiants en master enseigné. Les consultants en éducation expliquent cette résilience par la couverture contre les fluctuations monétaires, la diversification des bourses d’études et une prospection universitaire agressive dans les villes de niveau 2 en Inde.
Pour les multinationales, cette tendance signifie un vivier de talents plus large et internationalisé, mais aussi une concurrence accrue pour les visas de travail post-études. Les employeurs qui prévoient des programmes pour diplômés internationaux doivent noter que l’Australie offre désormais jusqu’à quatre ans de droits de travail post-études dans les filières STEM prioritaires, tandis que l’Allemagne accélère la délivrance de la Carte Bleue aux diplômés étrangers de ses universités. Les équipes RH pourraient cibler les stages dès le début pour sécuriser les meilleurs profils de retour.
Les autorités indiennes perçoivent cet essor des départs comme un signal pour accélérer les partenariats internationaux entre campus et le cadre prévu des « Universités Internationales d’Inde », qui pourrait à terme rapatrier une partie des 28 milliards de dollars US estimés de sortie annuelle de capitaux.






