
À partir d’aujourd’hui, 1er novembre 2025, les demandeurs d’ajustement de statut (formulaire I-485) reçoivent dans le portail myUSCIS des notifications électroniques leur demandant de s’acquitter d’un nouveau « frais de libération conditionnelle d’immigration » de 1 000 $ avant que les documents de voyage en avance sur libération conditionnelle puissent être délivrés ou renouvelés. Ce frais découle de la loi de réconciliation budgétaire de 2024, mais les détails de sa mise en œuvre étaient jusqu’à présent rares, jusqu’à l’apparition de cette première vague de notifications.
Ce frais s’applique à chaque fois que le DHS accorde une libération conditionnelle selon l’INA §212(d)(5), ce qui signifie que même les renouvellements et les ré-entrées entraîneront des frais supplémentaires de 1 000 $. USCIS confirme que le paiement est exigible uniquement après approbation, et non au moment du dépôt du formulaire I-131, mais les demandeurs doivent régler la facture dans les 30 jours sous peine de révocation.
La libération conditionnelle anticipée est une bouée de sauvetage pour les demandeurs d’ajustement, leur permettant de voyager à l’international pendant que leur dossier de carte verte est en cours. Les employeurs s’appuient régulièrement sur ce dispositif pour envoyer des transferts intra-entreprise et des collaborateurs en mission courte à l’étranger. Ce nouveau coût pourrait alourdir considérablement les budgets de relocalisation, notamment pour les familles nécessitant plusieurs documents.
Les équipes d’immigration en entreprise doivent revoir leurs prévisions budgétaires et conseiller aux employés de reporter les voyages non essentiels jusqu’à la stabilisation du portail de paiement — les premiers utilisateurs signalent des dysfonctionnements et des doubles prélèvements. Les entreprises qui remboursent les frais d’immigration pourraient devoir ajuster leurs calculs de majoration fiscale des avantages en nature.
Les associations de défense estiment que cette surtaxe dépasse les coûts réels de traitement et pourrait faire l’objet d’un recours judiciaire, mais pour l’instant, USCIS affirme qu’elle est obligatoire et non remboursable. Les demandeurs ayant déjà payé les frais de dépôt antérieurs ne bénéficieront d’aucun crédit sur ce nouveau frais de libération conditionnelle. Les responsables mobilité doivent diffuser des guides de paiement détaillés et rappeler aux voyageurs que quitter les États-Unis sans libération conditionnelle approuvée — et désormais payée — annule automatiquement la demande I-485 sous-jacente.
Ce frais s’applique à chaque fois que le DHS accorde une libération conditionnelle selon l’INA §212(d)(5), ce qui signifie que même les renouvellements et les ré-entrées entraîneront des frais supplémentaires de 1 000 $. USCIS confirme que le paiement est exigible uniquement après approbation, et non au moment du dépôt du formulaire I-131, mais les demandeurs doivent régler la facture dans les 30 jours sous peine de révocation.
La libération conditionnelle anticipée est une bouée de sauvetage pour les demandeurs d’ajustement, leur permettant de voyager à l’international pendant que leur dossier de carte verte est en cours. Les employeurs s’appuient régulièrement sur ce dispositif pour envoyer des transferts intra-entreprise et des collaborateurs en mission courte à l’étranger. Ce nouveau coût pourrait alourdir considérablement les budgets de relocalisation, notamment pour les familles nécessitant plusieurs documents.
Les équipes d’immigration en entreprise doivent revoir leurs prévisions budgétaires et conseiller aux employés de reporter les voyages non essentiels jusqu’à la stabilisation du portail de paiement — les premiers utilisateurs signalent des dysfonctionnements et des doubles prélèvements. Les entreprises qui remboursent les frais d’immigration pourraient devoir ajuster leurs calculs de majoration fiscale des avantages en nature.
Les associations de défense estiment que cette surtaxe dépasse les coûts réels de traitement et pourrait faire l’objet d’un recours judiciaire, mais pour l’instant, USCIS affirme qu’elle est obligatoire et non remboursable. Les demandeurs ayant déjà payé les frais de dépôt antérieurs ne bénéficieront d’aucun crédit sur ce nouveau frais de libération conditionnelle. Les responsables mobilité doivent diffuser des guides de paiement détaillés et rappeler aux voyageurs que quitter les États-Unis sans libération conditionnelle approuvée — et désormais payée — annule automatiquement la demande I-485 sous-jacente.







