
Le Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile (BEA) a ouvert une enquête complète après qu’un Airbus A320 de Nouvelair en approche finale et un Airbus A320 d’EasyJet en roulage pour décollage se sont frôlés à seulement trois mètres sur l’aéroport de Nice Côte d’Azur, lors d’une nuit brumeuse le 21 septembre. Un rapport préliminaire du BEA, publié le 24 octobre et largement analysé les 26 et 27 octobre, met en lumière une confusion des pilotes entre les pistes parallèles 04L/04R, aggravée par une faible visibilité et des retards liés à une tempête.
Bien que l’incident ait eu lieu le mois dernier, les conclusions du rapport ont fait la une le 27 octobre, alors que les compagnies aériennes et les gestionnaires d’aéroports examinaient les recommandations. Celles-ci incluent l’amélioration des affichages radar au sol dans les cockpits, la révision de la signalisation des pistes, ainsi que l’obligation d’appels radio simultanés en anglais et en français dans les plateformes régionales accueillant des compagnies mixtes.
Nice, troisième aéroport le plus fréquenté de France, est un point d’entrée majeur pour les cadres participant à des conférences à Sophia-Antipolis et Cannes. Les assureurs rappellent que ce quasi-accident est un signal fort pour les responsables des voyages d’affaires, qui doivent mettre à jour leurs protocoles de gestion de crise et s’assurer que leurs employés bénéficient de polices de responsabilité employeur incluant un accompagnement psychologique après des événements traumatisants.
Aéroports de la Côte d’Azur a annoncé qu’il accélérera son programme de modernisation de la sécurité des pistes, initialement prévu pour 2026, d’un montant de 45 millions d’euros. Le rapport final du BEA est attendu début 2026, mais les compagnies aériennes ont déjà commencé à diffuser des bulletins aux équipages insistant sur le strict respect des procédures en conditions de faible visibilité (LVP).
Bien que l’incident ait eu lieu le mois dernier, les conclusions du rapport ont fait la une le 27 octobre, alors que les compagnies aériennes et les gestionnaires d’aéroports examinaient les recommandations. Celles-ci incluent l’amélioration des affichages radar au sol dans les cockpits, la révision de la signalisation des pistes, ainsi que l’obligation d’appels radio simultanés en anglais et en français dans les plateformes régionales accueillant des compagnies mixtes.
Nice, troisième aéroport le plus fréquenté de France, est un point d’entrée majeur pour les cadres participant à des conférences à Sophia-Antipolis et Cannes. Les assureurs rappellent que ce quasi-accident est un signal fort pour les responsables des voyages d’affaires, qui doivent mettre à jour leurs protocoles de gestion de crise et s’assurer que leurs employés bénéficient de polices de responsabilité employeur incluant un accompagnement psychologique après des événements traumatisants.
Aéroports de la Côte d’Azur a annoncé qu’il accélérera son programme de modernisation de la sécurité des pistes, initialement prévu pour 2026, d’un montant de 45 millions d’euros. Le rapport final du BEA est attendu début 2026, mais les compagnies aériennes ont déjà commencé à diffuser des bulletins aux équipages insistant sur le strict respect des procédures en conditions de faible visibilité (LVP).





